Comment profiter des bienfaits du curcuma

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Les études dont cette épice fait l’objet depuis quelques années se comptent

par milliers.

Tant les bienfaits du curcuma semblent aussi nombreux que puissants.

Certains chercheurs parlent même de la plante au pouvoir curatif le plus grand.

 

Encore faut-il être en mesure d’en bénéficier, c’est-à-dire d’assurer la bonne

absorption de son principe actif, la curcumine, qui lui donne sa couleur.

Et là, les choses se compliquent sérieusement !

Toutes les raisons pour lesquelles vous devriez consommer

régulièrement du curcuma

La liste des bienfaits du curcuma est si longue que je ne vais pas les énumérer

tous, et je joindrai des liens vers certaines études, au cas où vous pourriez avoir

des doutes ! Il y aurait des tas d’autres liens possibles bien sûr.

Tous en anglais…car les chercheurs publient en anglais au niveau mondial.

 

Le plus important réside dans son pouvoir anti-inflammatoire qui lui permet

d’être efficace dans d’innombrables troubles et maladies.

Et donc dans la réduction du stress oxydatif.

 

Il soutient le corps dans ses efforts pour lutter contre les maladies

neurodégénératives, comme la maladie d’Alzheimer, et pour maintenir

une bonne mémoire.

 

Il réduit les risques de maladies cardiovasculaires et de dépression.

 

Son efficacité en cas de cancer est reconnue, et il peut même être utilisé

en prévention de certains types de cancers provoqués par une exposition à

des produits chimiques, tels les cancers du foie, de l’estomac ou du colon.

Par contre les cancers du sein ne répondent pas à l’action du curcuma.

 

Selon la tradition de la médecine indienne ayurvédique (Ayurvéda), le curcuma

est purifiant par nature, pour la peau comme pour le sang.

Il détoxifie le foie et agit comme un très fort antioxydant.

 

Ses effets antiâge sont également prouvés.

 

Malheureusement nous absorbons très peu la curcumine

Il ne suffit pas d’en avaler pour que les bienfaits du curcuma nous soient offerts !

Le seul problème avec le curcuma vient du fait que notre foie réduit

énormément l’absorption de la curcumine.

Et ce, pour se protéger d’un excès de principes actifs, qu’il verrait comme toxique.

 

Cette explication donnée par les Occidentaux est corroborée par la médecine

ayurvédique qui, comme la médecine chinoise, considère les aliments

selon leur énergie propre c’est-à-dire leur vibration propre.

 

Et il se trouve que le curcuma a une nature énergétique à la fois chaude et

sèche. D’ailleurs je dis souvent qu’il faut consommer avec parcimonie les épices,

quelles que soient leurs vertus, car elles sont asséchantes.

 

Or pour que l’énergie circule bien dans notre corps il faut veiller à l’équilibre

entre les énergies des aliments, entre autres, chaudes ou froides, humides

ou sèches.

 

Comment procéder pour éviter la fatigue du foie

Cela implique, dans ce cas, de mélanger le curcuma avec un aliment

refroidissant, et un aliment plus onctueux que lui, qui feront le contrepoint

avec sa chaleur et sa sècheresse.

 

Et pour que ces éléments se conjuguent, qu’il y ait interaction entre les

nutriments, il faut les soumettre à la chaleur de la cuisson.

J’ai même lu cela sur le site d’un américain fervent du cru !

 

Ainsi le foie ne sera pas débordé par trop de curcumine, car elle sera intimement

mélangée à d’autres nutriments.

Et on évite donc la fatigue du foie.

 

Raison pour laquelle il est souvent dit de consommer le curcuma avec une matière

grasse, dans un plat chaud.

Pour qu’il exprime son plein potentiel.

 

Le mieux est de l’utiliser avec des légumes cuits et un peu d’une matière grasse

qui supporte d’être chauffée.

Donc pas d’huile d’olives, plutôt de la graisse de coco ou du lait de coco.

Et la symbiose se fait naturellement entre les divers nutriments.

 

Si vous avez envie d’écouter un médecin ayurvédique qui explique ce que

je viens de vous dire pour profiter des bienfaits du curcuma, vous pouvez aller

l’écouter ici. Il explique également les effets secondaires d’un mauvais usage,

c’est-à-dire donc la fatigue du foie.

Vaidya Mishra s’exprime en anglais et avec un fort accent indien…

 

Il conseille également d’ajouter un peu de cumin ou, surtout, du fenouil

en poudre et de la coriandre qui « calmeront » les qualités du curcuma.

 

Une recette publiée l’an dernier sur ce blog, vous donnera une idée de plat chaud

idéal contenant du curcuma, car préparé avec des oignons rouges notamment.

Ces oignons rouges ont un contenu important en quercétine.

Le plus important dans la famille des oignons.

Cette quercétine fait partie justement des nutriments qui améliorent l’absorption

de la curcumine.

 

Une idée de boisson chaude au curcuma

En remplacement du chocolat chaud traditionnel, à éviter à cause du lait

de vache, vous pouvez essayer un lait de coco chauffé et épicé.

 

Pour un grand verre de lait de coco , plus ou moins dilué selon vos goûts :

  •    une cuillerée à soupe de cacao cru, si vous n’y êtes pas allergique
  •    1/4 de cuiller à thé de poudre de curcuma (bio !)
  •    1/4 de cuiller à thé de poudre de cannelle (bio !)
  •    de la stévia ou un peu de sucre de coco ou un autre…

Faîtes chauffer en même temps et dégustez !

 

Remarque importante : prenez des précautions pour éviter que la couleur

jaune, certes très belle, ne devienne indélébile là où vous n’en avez pas envie…!

 

Venez nous donner vos recettes avec du curcuma, si vous en avez.

Car cela vaut la peine de convaincre un maximum de personnes !

 

Autre question : allez-vous encore acheter des compléments alimentaires

coûteux au curcuma ? Notamment le jus de curcuma vendu à prix d’or ?

22 COMMENTS

  1. Bonsoir Marie,

    J’apprécie le parfum du curcuma, et pour accompagner un poisson cuit vapeur, j’ajoute de la crème de coco, du curcuma et du poivre.

    Le poisson étant gras ainsi que le lait de coco, je n’ajoute aucune matière grasse.

    Je parfume le thé fermenté ( dont j’ai fortement réduit la consommation ) soit avec des boules de poivre et de petites lamelles de curcuma, soit avec du gingembre.

    Je vais m’en inspirer pour les jus de légumes ( fermentés pour la conservation ) et j’ai pris bonne note de la nécessité de le cuire voire de l’associer à l’oignon rouge.

    Je confectionne parfois un plat végétarien pois chiches ( germés ) , patate douce, oignon ( parfois rouge ) poivron et curcuma … parfois, les patates sont remplacées par le millet ( trempé et/ou fermenté il remplace le couscous )

    Voila, il y a toujours quelques racines de gingembre et de curcuma ( bio ) dans le saladier, prêtes à l’emploi.

    Merci pour ces précisions ! et je me souviens de la remarque de ne pas utiliser simultanément le curcuma et le gingembre !

    Je voudrais avoir ton avis au sujet de la nécessité de le cuire lorsqu’on le fermente ? est ce encore nécessaire ?

    Les lamelles de curcuma sont devenues molles, après la seconde fermentation ( je n’ajoute jamais les épices à la première fermentation )

    amitiés

    Pierre

    Ps : j’ai cuit une viande à la graisse de coco, et personne n’a senti la différence !

  2. Bonsoir Marie. Merci pour ce nouvel opus.
    On lit toujours qu’il faut consommer le curcuma avec du poivre, la pipérine permettant à la curcumine de faire effet.
    Vous ne parlez pas de cette association. Est-parce que vous ne la pensez pas utile ?
    Bien à vous.
    Bonne semaine.
    Elisabeth

  3. PS (suite à ma question de 21:56)
    Concernant l’huile d’olive. Vous dites qu’il ne faut pas la chauffer. Je vous crois sur parole. Mais bizarrement on entend d’habitude que cette huile peut-être chauffée…
    Bien à vous.
    Elisabeth

  4. Bonsoir Marie,

    Le curcuma fait maintenant partie des condiments trônant dans ma cuisine.
    J’ai des périodes ou je le consomme le matin, à jeun, dans un jus de citron.
    Pour lutter contre l’hypertension, j’ai lu que c’était un remède qui pouvait aider, qu’en penses-tu ? Et la cannelle ? Pourrais-tu nous en parler ? En fait, toutes les épices intéressement.
    Les épices sont notre pharmacie pour notre santé au quotidien, comment se soignaient nos anciens ? Je suis une bien piètre cliente pour les médecins et pharmaciens.

    Belle soirée chère Marie,

    Hélène
    Helene Articles récents…Patchwork de vie rime avec synchronicité et recyclageMy Profile

  5. Bonjour Pierre,

    N’oublie pas de consommer le curcuma avec des aliments qui l’équilibrent énergétiquement, comme dit dans l’article.
    Sinon c’est peine perdue.
    Il n’est peut-être pas nécessaire de faire fermenter le curcuma, tu pourrais alors le cuire en profitant des échanges dont je parle.
    Cuire un aliment fermenté n’a pas d’intérêt, je pense.
    Mais, honnêtement, il n’existe aucune étude qui aurait fait l’expérience de le cuire fermenté, et ensuite de prouver que la curcumine a été assimilée.
    C’est vraiment plus simple de l’utiliser non fermenté !

    Bien sûr que le goût de la graisse de coco cuite avec de la viande ne pose aucun problème, au contraire.

    Bonne journée.
    Amicalement.
    Marie.

  6. Bonjour Elisabeth,

    Non, j’ai préféré ne pas parler du poivre, l’Ayurvéda n’en parle pas non plus.
    Même si les études ont confirmé son action pour une meilleure assimilation.
    Et si je l’ai conseillé moi-même et consommé ainsi.
    Je ne savais pas encore.

    D’un point de vue énergétique, celui de l’Ayurvéda, le poivre agit dans le même sens que le curcuma, réchauffer et non « calmer ».
    Donc cela induit une pression supplémentaire sur le système digestif, et le foie bien sûr.
    Ce qui n’est pas souhaitable du tout.
    Question évidemment qui ne se pose pas en médecine occidentale, malheureusement.

    Mais j’ai surtout cherché à comprendre comment fonctionnait le poivre, et là je suis gênée, car son action ne va pas dans le sens de la santé naturelle.
    Je m’explique.

    En fait le poivre, par l’intermédiaire de sa pipérine, empêche les enzymes du foie de refouler la curcumine qu’il juge excédentaire.
    La pipérine inhibe tout simplement une fonction naturelle du foie. Qui a pourtant sa raison d’être.
    C’est très efficace en effet !
    D’ailleurs les fabricants de compléments alimentaires en ajoutent à de nombreux autres produits maintenant.
    Quand la science rend service au commerce…

    Bien sûr cela ne gêne pas, encore une fois, la logique de la médecine occidentale, mais le foie qu’en pense-t-il ?
    Je ne pense pas, moi, que cela aille dans le sens de la vraie santé.

    Merci de m’avoir donné l’occasion de préciser ce point et de ne pas abonder dans le sens de la connaissance commune.

    Bonne journée.
    Cordialement.
    Marie.

  7. Bonjour Elisabeth,

    Il ne faut pas me croire sur parole !
    Et les « scientifiques » qui pourraient passer par là peuvent aller consulter sur Pubmed toutes les études qui prouvent ce que je dis.
    Je ne cite les études que lorsqu’elles sont très récentes, et donc encore peu divulguées.
    Après un certain temps, les « scientifiques » en question devraient être au courant.
    C’est leur travail, non, de se tenir au courant ?

    Donc voilà l’explication :
    Seuls les acides gras saturés supportent la cuisson sans fabriquer d’acides gras trans.
    D’où l’intérêt de la graisse de coco pour la cuisson.

    L’huile d’olives, même principalement mono-insaturée, fabrique donc des acides gras trans quand elle est cuite.
    Ce qui est tout sauf nécessaire, puisque cancérigène.
    On la conseille dans le cadre de la mode du régime crétois (que plus aucun Crétois ne pratique…!), sans dire qu’il ne faut pas la cuire.
    Le pire étant de cuire les huiles végétales polyinsaturées.

    Merci encore pour cette question à laquelle j’avais répondu dans plusieurs commentaires depuis l’an dernier.

    Cordialement.
    Marie.

  8. Bonjour Hélène,

    N’oublie pas Hélène ce que dit l’article, à savoir que les épices doivent être consommées régulièrement certes, mais avec parcimonie.
    Je te sens partie vers de grandes louchées !
    Ce sont des produits très puissants, comme les huiles essentielles, elles aussi très à la mode, c’est drôle…
    Rien n’est plus puissant sur la terre.

    Et nous Occidentaux estimons tout en termes de quantité. Grave erreur.
    Le trop est en réalité contre-productif.
    Il s’agit d’énergie, pas de quantité.

    Et n’oublie pas non plus que, pour que ton curcuma soit assimilé, il faut certaines associations.
    Avec le citron…je ne pense pas que l’affaire soit jouable !

    Pour l’hypertension, en effet, car il s’agit d’un trouble inflammatoire.

    J’ai consacré deux articles à la cannelle, très utile contre les fringales de sucre car active au niveau du taux de sucre sanguin.
    Voici les liens :
    http://www.nourriture-sante.com/comment-eviter-les-fringales-de-sucre/
    http://www.nourriture-sante.com/miel-cannelle-cocktail-exceptionnel/

    Bonne semaine Hélène.
    Marie.

  9. Bonsoir Marie. Merci pour vos infos précises concernant poivre/curcuma.
    Concernant le problème curcuma/foie évoqué dans votre article. Ce que vous dites à ce sujet me pose la question de savoir pourquoi un médecin m’a prescrit de la teinture mère de curcuma (et de la tm de cynara (Artichaud) pour traiter ou aider mon foie malade (comme l’est très souvent le foie des lymés). N’est-ce pas bizarre ? Il est vrai que tm et poudre sont deux choses différentes…
    Merci de m’éclairer de nouveau.
    Bien à vous.
    Elisabeth

  10. Re-Bonsoir Marie.
    Mille merci pour toutes ces infos sur les huiles et leur cuisson. Désolée de vous faire répéter des choses déjà dites m’écrivez-vous. Vous auriez dû m’indiquer la rubrique où j’aurais trouvé la réponse à ma question.
    Je n’ai malheureusement pas lu tout ce que vous écrivez depuis je ne sais quand, vous ayant découverte il y a seulement trois/quatre mois.
    Bien à vous.
    PS Ce serait bien de trouver vos innombrables connaissances, si justes et si précieuses, rassemblées dans un livre !!
    Elisabeth

  11. Bonsoir Elisabeth,

    La teinture -mère d’artichaut ne pose pas de problème, il s’agit d’un légume et pas d’une épice.
    Cela change tout.
    Une épice, comme une huile essentielle, c’est un concentré d’énergie, de vibrations élevées.
    D’où leur puissance et la nécessité d’en faire un usage modéré.
    De toute manière l’efficacité n’a aucun rapport avec la quantité pour ce genre de produits.
    La régularité, oui.

    L’artichaut ne peut pas avoir d’effet aussi fort, même en teinture-mère.
    Donc vous ne risquez rien, j’allais dire.
    Et c’est très approprié pour le foie.
    Le chardon-marie est certainement bien plus puissant, mais encore faut-il savoir ce qui convient le mieux à l’état énergétique de votre foie.
    Les plantes ont leurs propres vibrations en harmonie ou pas avec nos besoins.
    La réponse n’est pas la même pour tous les malades atteints de la même maladie.

    Il faudrait trouver un médecin qui connaisse les aliments et les plantes du point de vue énergétique, selon la médecine chinoise.
    J’avais trouvé ce genre de perle il y a deux ans pour soigner ma chienne !
    Un vétérinaire très compétent et passionné, qui soignait vraiment en évaluant l’état énergétique de ma chienne et en se demandant quelle plante lui convenait le mieux.
    Et ses honoraires étaient bien inférieurs à ceux pratiqués par ses confrères.
    Je sais que si j’avais ce genre de besoin pour moi j’irais le voir aussi !

    Votre médecin est un médecin occidental et formé à penser que le plus fort est le mieux d’où les teintures-mères.
    Parfois c’est vrai, parfois pas.
    La notion d’énergie vitale n’est pas qu’inconnue, elle est combattue et moquée dans ce milieu.
    C’est grave, alors que nous ne sommes que de l’énergie qui commande la matière.

    Un des lecteurs de passage sur mon blog a récemment traité mon travail de mauvais et sans intérêt parce que j’ai employé l’expression énergie vitale.
    Au Moyen-Age on persécutait ceux qui disaient que la terre tournait autour du soleil, et qu’elle n’était pas plate !!
    L’énormité du préjugé est du même ordre. Alors que la connaissance est disponible à notre époque.

    La teinture-mère de curcuma concentre encore plus les qualités chaude et sèche…
    Est-ce bien raisonnable ?!
    Quelle pression sur le foie déjà fatigué !
    Prenez-la avec un plat chaud et gras, enfin un peu gras. Et en petite quantité.
    Je ne veux pas vous dire de ne pas la prendre, bien sûr, à vous de voir.
    Car cela peut vous être très utile, mais peu à la fois.
    Cela dépend aussi de l’effet que vous ressentez.

    La modération paie toujours en général !
    Bonne soirée.
    Marie.

  12. Bonsoir Elisabeth,

    Non, ne vous excusez pas, il est normal que je doive répéter.
    Tout le monde ne lit pas tous les articles ni surtout tous les commentaires.
    Le livre ? Il m’a déjà été demandé par certains lecteurs.
    Je veux bien, mais je suppose que vous l’aimeriez sous la forme papier ?
    C’est possible, j’y ai réfléchi.
    En tous cas cela me fait plaisir que mes articles (104 à ce jour) vous conviennent !

    Merci et bonne soirée.
    Marie.

  13. Bonjour Thalie,

    J’espère que tu en consommes aussi en plat salé.
    Dommage de se priver de telles vertus.

    Merci pour ta présence et bonne journée.
    Marie.

  14. Me revoici, Marie,

    Pas de grandes louchées… Par ci, par la, des touches d’épices agrémentant mon quotidien. J’en conviens : apprendre à les utiliser à bon escient. Pour la cannelle, j’ai tout bon, étant habituée à l’utiliser depuis mon plus jeune âge. Pour le curcuma : me faut mieux comprendre, ça vient. A ne pas utiliser avec le citron ? Je n’ai pas du vérifier mes sources. Citron et curcuma : pas facile à avaler, surement un signe de mauvais mélange ? A ce propos, est-ce que le gout que nous éprouvons aux saveurs, bon ou mauvais, est-il un baromètre de ce qui est bon pour nous ?
    A nouvelles habitudes, de nouveaux comportements à intégrer, surement.

    Hélène
    Helene Articles récents…Revanche sur les mots ou mots en action de

  15. Pourtant, dans la recette « fricassée de quinoa, oignon et izikis », le poivre est mentionné :

    « Remarque à propos du curcuma :

    Pour que ses incroyables qualités, notamment antioxydantes, puissent agir, il

    doit être consommé en même temps que de la matière grasse et que du poivre. »

    Alors, poivre ou pas poivre ???

  16. Bonsoir Jocelyne,

    J’ai oublié de corriger ! Je le ferai.
    Lorsque j’ai rédigé l’article contenant la recette je ne savais pas que le curcuma devait être chauffé et dans ces conditions-là.
    En fait ici, c’est seulement inutile car ni l’un ni l’autre n’est chauffé.
    Donc pas de réel effet.
    Il faut respecter ce que l’Ayurvéda dit, ce que j’écris ici.
    Pas ce qui se répète partout et que je croyais !

    Merci !
    Marie.

  17. Bonjour à tous,
    pourquoi ne doit on pas utiliser le curcuma et le gingembre?
    C’est ce que je fais tous les soirs depuis pratiquement deux ans.
    Merci d’avance pour votre réaction.

  18. Bonjour marie,

    Superbe article.

    Moi qui consomme du curcuma frais a longueur de journée, je le mange ainsi entier, je sais pas pourquoi je fais ça, mais j´adore son goût, et bien du coup je sais qu´il faut alors de préférence le cuire avec de l´huile de coco pour mieux l´assimiler

  19. Merci pour votre réponse Marie.
    J’ai oublié de préciser que j’emploie le gingembre et le curcuma en poudre. J’adjoindrai un peu d’huile de coco à la place de la larme d’huile de colza.
    Curiosité : pourquoi n’avez-vous pas de four ? (enfin si la réponse n’est pas personnelle :o)))
    Belle fin d’après midi.

  20. Bonjour Marie-Claire,

    Les aliments cuits au four, même à température douce, sont très abîmés voire détruits.
    Mais le pire est qu’ils deviennent toxiques, nous inondent de composés glyqués.
    Voyez dans cet article quel cadeau constitue la glycation :
    https://nourriture-sante.com/pour-avoir-moins-de-rides-consommer-moins-de-sucre/

    Les maladies ne sont jamais le fruit du hasard, elles ne s’attrapent pas !
    Elles se fabriquent en nous à cause de notre hygiène de vie, surtout alimentaire.
    Mais on peut choisir de croire le discours déculpabilisant de la médecine, qui est bien triste d’annoncer à longueur de journée des cancers et toute la flopée de maladies chroniques invalidantes.
    Mais qui ne parle par contre jamais de prévention.
    A une autre fois.

    Marie.

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