C’est lorsque le système cardio-vasculaire souffre d’inflammation que toutes sortes de troubles cardiaques se déclarent.
Mais pas seulement, car dans ce cas tous les tissus du corps souffrent aussi puisqu’ils ne sont plus irrigués au maximum par le sang qui circule mal.
Cette inflammation s’attaque à la muqueuse intérieure du système cardio-vasculaire général que l’on appelle l’endothélium vasculaire.
Tous ces ennuis ne sont ni héréditaires ni inévitables.
Et même s’il est possible d’aider cet endothélium par certains aliments, des compléments spécifiques ou des médicaments, ils ne calment l’inflammation qu’un temps si on ne met pas en place des changements d’hygiène de vie pour cesser de fabriquer en continu cette inflammation en soi.
Et c’est là que l’on s’entend dire que les artères sont déjà bouchées à 80 % et qu’il va falloir se résoudre à accepter une opération. Ce qui n’a jamais réjoui personne !
C’est au quotidien qu’il faut prendre soin de son système cardio-vasculaire.
Effets du stress et de la cigarette sur le système cardio-vasculaire
Quel est le point commun entre stress et cigarettes ? Au-delà du fait que souvent l’un explique l’autre et vice-versa.
Tous deux attaquent l‘intégrité de l’endothélium vasculaire qui tout simplement s’abîme.
Parce qu’il est particulièrement fragile, il n’a qu’une seule cellule d’épaisseur.
Tout comme la muqueuse intestinale d’ailleurs.
Pour que le sang irrigue bien tous les tissus du corps, dont ceux du coeur, il faut que l’endothélium soit détendu, relaxé. Or s’il n’est plus en bon état il ne peut pas se détendre.
S’il ne l’est pas, cela a un impact très négatif sur la pression sanguine.
Avant même le diagnostic d’hypertension les médecins sont capables de repérer cette impossibilité de l’endothélium à se détendre.
L’inflammation détériore l’endothélium vasculaire
L’inflammation est un déclencheur de gros dégâts de l’endothélium.
Cette inflammation c’est de l’inflammation chronique qui circule partout dans le corps, véhiculée par le sang depuis la muqueuse intestinale. Là où l’inflammation est essentiellement fabriquée.
L’endothélium vasculaire n’aime pas plus l’inflammation chronique que la muqueuse intestinale. Elle le brûle tant que, pour se protéger, il doit fabriquer une couche protectrice faite de cholestérol.
C’est cela le cholestérol en fait, le méchant qu’il faudrait tant éliminer. Un réflexe de protection, un symptôme d’alerte, pas la cause des ennuis.
Bien sûr, lorsque la situation n’est pas améliorée par des changements d’hygiène de vie, il arrive que la quantité de cholestérol devienne si excessive qu’il faille s’y attaquer. On se retrouve avec des artères bouchées et la seule issue alors n’est plus que l’opération.
Il y a déjà pas mal d’années que cela a été démontré par des études sérieuses et indépendantes. Malgré elles, comme dans tant d’autres domaines que l’actualité nous offre, cette thèse est écartée, ignorée par la majorité des personnels de santé.
Je ne prendrai même pas la peine de fournir ici ces études facilement disponibles sur internet. Il semble que chacun maintenant croie ce qui l’arrange, en dépit de toutes les évidences. Ces études sérieuses sont mises en balance avec d’autres non indépendantes.
L’adiposité viscérale
C’est celle à laquelle on ne pense pas quand on voit, ou que l’on a, un bon petit ventre bien gras ! Partie émergée d’un iceberg en fait.
La graisse viscérale, qui entoure donc les viscères, organes internes, se cache même chez des gens minces ou maigres. Par exemple autour de leur foie. Qui en devenant bien gras peut évoluer vers les troubles du…foie gras.
Cela peut faire rire si on n’en est pas atteint, sinon c’est moins drôle.
Le problème de cette graisse abdominale c’est qu’elle se comporte comme un véritable organe qui sécrète des composés très inflammatoires. Composés qui répandent cette inflammation partout dans le corps.
Notamment dans le système cardio-vasculaire.
Un véritable ennemi intérieur, dont j’avais déjà expliqué le fonctionnement et le danger qu’il représente.
Le vrai rôle de l’hérédité
« C’est de famille les troubles cardiaques, alors je n’y peux rien. » Entend-on souvent. Avec l’argument massue : « c’est génétique » !
Quand la génétique a bon dos…
Ce qui est réellement transmis génétiquement ce sont des gènes qui ont été abîmés par l’hygiène de vie de nos parents ou de nos ancêtres plus lointains.
Cela n’a rien à voir avec une quelconque condamnation à développer les mêmes maladies. En effet si l’hygiène de vie est différente de celle des parents alors ces gènes défectueux ne seront pas activés.
Et même seront réparés par une hygiène de vie non inflammatoire. Cela est vrai pour le système cardio-vasculaire comme pour tout autre tissu du corps.
Donc finalement c’est plutôt la mauvaise hygiène de vie qui est transmise par la famille.
Relisez cet article : « La nourriture a plus de pouvoir sur notre santé que notre ADN »
Quand un organe a été affaibli par une lignée d’ancêtres il est évident que lorsque chez quelqu’un l’inflammation chronique se sera suffisamment développée pour empêcher le bon fonctionnement d’un organe, elle choisira l’organe maillon faible de naissance pour l’attaquer.
D’où le mythe qui déresponsabilise, c’est ma mère qui m’a filé son diabète ou sa maladie cardiaque ou tant d’autres choses !
J’avais déjà expliqué ce problème dans cet article :
« La maladie auto-immune peut être évitée ou stoppée »
Seule la prévention protège, comme toujours !
Je parle de vraie prévention, c’est-à-dire d’une hygiène de vie en elle-même non inflammatoire.
Et cela touche tous les domaines, surtout l’alimentation naturellement, mais aussi la résistance au stress, la qualité du sommeil, la capacité à modifier son rythme de vie etc.
Si vous avez les artères bouchées ce n’est pas parce que vous n’avez pas consommé suffisamment de curcuma ou que vous mangez encore de la viande rouge à l’occasion !
Ce serait bien de ne plus se raconter d’histoire pour un sujet si vital.
Le riz par exemple génère autant d’inflammation chronique que la fameuse viande rouge. Ce qui se comprend aisément puisque tout le monde a déjà constaté que cuire du riz c’est voir comme une sorte de colle apparaître dans la casserole.
Or cette colle se comporte comme de la glu au niveau de notre muqueuse intestinale et génère ce que l’on appelle un biofilm absolument inflammatoire. (tous les biofilms ne le sont pas, certains sont des nids nourrissants au contraire).
Ce biofilm devrait faire réfléchir à une époque d’angoisse immunitaire. Puisqu’il abrite de préférence des bactéries peu sympathiques, des virus et autres vilains champignons. Ce qui empêche le système immunitaire de nous défendre.
Ne plus créer autant d’inflammation chronique
C’est plus compliqué que ce qui est proposé un peu partout. Mais on n’attire pas les mouches avec du vinaigre !
Laissez croire que de lutter contre l’inflammation chronique (acidification du terrain) c’est aussi simple par exemple que d’ajouter des aliments alcalins à ses repas, c’est vraiment pas loin d’être infantile.
Sous prétexte que les pommes de terre, les châtaignes ou les bananes sont alcalinisantes, en manger alcaliniserait le corps. Ce qui lutterait contre l’acidification, autrement dit l’inflammation.
En réalité c’est exactement l’inverse qui se produit. Ces aliments font monter le taux de sucre sanguin de manière importante. Vérité que je suis la première à regretter, je les aime beaucoup !
Ce qui crée de l’inflammation inévitablement. Ce n’est pas un hasard si les diabétiques (de type 2) souffrent toujours d’autres maladies auto-immunes c’est-à-dire d’inflammation chronique.
Seuls les jus verts, sans aucun ajout de fruits capables de faire monter ce taux de sucre, peuvent désacidifier le corps. A supposer qu’en parallèle on ne consomme pas de repas inflammatoires.
Les jus verts ne peuvent compenser ces repas inflammatoires, sauf en cure exclusive. ET de toute façon on reprendra un jour plus ou moins les repas « d’avant ». On ne mange finalement jamais de façon saine et naturelle.
Un repas non inflammatoire du type de ceux proposés dans mon programme ASI permet justement de manger des aliments qui en eux-mêmes génèrent de l’inflammation (chair animale par exemple ou pseudo-céréales).
Car on ne peut pas vivre que d’aliments non acidifiants c’est-à-dire verts. Tous les autres le sont au moins un peu.
Il faut donc équilibrer avec des proportions particulières les diverses catégories d’aliments. Proportions fondées sur le comportement de la flore, sa composition, et scientifiquement vérifiées.
Bonjour Marie,
Quelle joie de vous lire.
Inflammation chronique, gestion du stress, qualité du sommeil, comportements alimentaires, composition des repas, hygiène de vie, etc.
Tout est dit ou presque 🙂
Merci de toujours « nous rappeler » ces fondamentaux.
Merci aussi, de poursuivre inlassablement vos nombreuses lectures et recherches.
Merci encore de vulgariser la synthèse de celles-ci, notamment, sous la forme de chroniques stimulantes, indépendantes et jamais culpabilisantes.
Merci enfin de tout simplement partager (avec nous) beaucoup de votre temps précieux !
Belle et Heureuse Année Marie.
P.S.: si vous le permettez, je m’autorise une question.
Que devient votre projet d’ouvrage concernant les métaux toxiques ? J’ai hâte de l’acheter !!!
Renzo
Grand bonsoir à vous Renzo !
Très heureuse de vous lire à nouveau.
Très belle année à vous également et votre famille dont votre fils, qui j’espère continue d’aller bien depuis sa pratique du programme ASI.
Je parle régulièrement de lui à des personnes en souffrance qui n’imaginent pas pouvoir améliorer leur état.
C’est très agréable d’être « bien » lue !
Oui je rappelle, je rappelle, parce que la cause des causes de nos ennuis, sauf accidents ponctuels, est toujours l’inflammation.
Qui dégénère en maladie auto-immune le plus souvent, et qui est à l’origine des maladies les plus dangereuses.
Sauf les maladies dites orphelines bien sûr.
Je suis passionnée par la découverte du fonctionnement naturel de notre santé.
C’est tout de même plus enthousiasmant que d’attendre la mise au point du prochain médicament ou du prochain complément alimentaire !
Et transmettre c’est aussi très passionnant.
Permettez-vous une petite question qui me culpabilise !!
Le projet « métaux toxiques » occupe une pile énorme juste à côté de moi.
Beaucoup de choses sont au point, d’autres sont à rédiger, synthétiser.
Mais les recherches sont terminées.
J’ai trouvé des solutions multiples et qui peuvent s’adapter à chacun selon ses besoins et ses moyens.
Le plan global est rédigé aussi.
A moi de trouver ce qu’il faut encore de temps pour être en mesure de le présenter.
Je vous avoue que dans ma tête il tient la place d’une obsession…!
J’espère que vous reviendrez avant l’an prochain.
Sinon vous pourriez rater la sortie de l’objet tant attendu !
Bonne soirée Renzo et à bientôt ici.
Marie.
Bonjour, Marie,
Voici un super commentaire qui fait plaisir à lire.
Je partage tous ces remerciements pour tout le temps que vous consacrez à nous aider à aller du mieux possible.
Vite, vite pendant qu’il est presque encore temps, je vous présente mes meilleurs vœux pour l’année 2021.
Amitiés.
Brigitte C
Bonjour Brigitte,
J’apprécie également le votre de commentaire !
Et pas parce que ce sont des compliments.
Je connais tout de même la qualité de ce que je fais, je n’en ai donc pas besoin.
Ce qui me fait plaisir c’est de constater que des gens sont assez intelligents pour comprendre ce qui peut aider leur santé.
Et qu’ils n’agissent pas que par intérêt, en parfaits pique-assiette.
Ils sont la majorité à le faire, si peu malins qu’ils ne se doutent pas que c’est la meilleure manière de ne jamais résoudre leurs problèmes.
Ces gens-là utilisent les autres, si bêtes qu’ils pensent que cela ne se voit pas.
Ils squattent ma boîte mails en pleurnichant comme des enfants.
Les mêmes qui ne disent même pas merci quand je prends du temps pour leur expliquer plein de choses.
Et surtout si bêtes qu’ils ne savent pas qu’ils sont entièrement responsables de leurs ennuis de santé.
Sauf à recevoir un rocher sur la tête, se faire broyer dans un accident de voiture, ou naître malade, on doit se remettre en question.
Reconnaître sa responsabilité.
La bêtise et la malhonnêteté ne pourront jamais être la solution !
Donc des gens comme vous, et beaucoup d’autres évidemment qui ne se montrent pas ici, me sont précieux.
Je vous en remercie, je les remercie.
Amitiés à vous Brigitte et bien sûr belle année 2021.
Marie.
Bonsoir Marie,
Je suis déjà là !!!
Et je ne compte, sous aucun prétexte, manquer la sortie de votre prochain ouvrage.
C’est fantatstique de savoir que vous poursuivez et que vos recherches sont terminées.
Mon fils aîné poursuit assidûment le programme ASI et cela sans aucune forme de contrainte.
Cest devenu pour lui absolument naturel et vital dans tous les sens du terme.
Il est en pleine forme, il a même, si je puis dire, »transmis le virus ASI » à sa jeune épouse (qui en avait également grand besoin).
Je ne peux, hélas, pas en dire autant de mon autre fils …
Je ne désespère pas, non pas encore, mais chaque mois ou année qui passe, me rend triste car je constate déjà les » dégâts collatéraux ». C’est désarmant de se sentir parfois démuni devant certains comportements alimentaires de ses propres enfants (qui sont déjà de jeunes adultes). Son frère et moi, savons pertinemment que le programme ASI pourrait considérablement l’aider à diminuer les effets inflammatoires dévastateurs. Nous essayons de le soutenir dans ses timides et (trop) lentes démarches sans le culpaliser mais c’est un travail collosal et nous sommes encore loins d’être en mesure de stabiliser la situation et de l’avoir pleinement convaincu!
Enfin, nous avons déjà pu semer quelques graines et c’est déjà en soi encourageant pour lui !
Nous sommes sortis, je l’espère, de l’éternel combat « idéologique ».
Quoi qu’il en soit, j’ai hâte de découvrir les résultats de votre « obsession ».
Belle soirée à vous.
A bientôt.
Renzo.
Bonsoir Renzo,
Lorsque je vous ai demandé si votre fils allait toujours bien je craignais qu’il n’ait « replongé » dans les mauvaises habitudes.
Et ce que vous me décrivez me rend très heureuse vraiment.
Il a basculé dans la vraie santé de manière définitive, c’est le mieux que l’on puisse souhaiter pour quiconque.
Sans douleur, sans frustration, sans dépendance médicamenteuse.
Je ne suis pas surprise du tout que le programme ASI puisse modifier à ce point une santé, je sais bien pourquoi.
Il ne sort pas de ma petite tête mais des pratiques des pionniers de la santé intestinale, les vrais.
Des gens hautement estimables, pas des pionniers du marketing internet.
Quand on sait que la plupart abandonnent au prétexte de se faire plaisir, et attendent les derniers anti-inflammatoires.
Qui achèvent de détruire leur santé, ce qu’ils veulent surtout ignorer.
Félicitez votre fils et son épouse d’avoir l’esprit ouvert et de se respecter suffisamment pour être capables de modifier leurs habitudes et de profiter réellement de la vie, pas de manière superficielle.
Je vais rappeler le témoignage que vous aviez laissé à l’époque pour que les gens saisissent ce que votre fils a vécu comme amélioration.
Les changements sont tout simplement prodigieux, cela a changé radicalement sa vie, sa vision du monde, son regard sur la « médecine », ses souffrances ont disparu … sa vie redevient agréable. Il est « ou était » atteint d’une polyarthrite ankylosante … il est jeune, sportif, il était incapable de se lever le matin sans douleur, de se mouvoir en ayant besoin de plusieurs heures (parfois) chaque matin avant de se sentir capable de se rendre au travail, etc. Aujourd’hui, cette personne skie, comme avant la découverte de sa maladie, marche en montagne, court, pédale, surfe, nage, voyage, cuisine, digère, … Ce qui est le plus important et le plus spectaculaire selon mon point de vue, c’est la modification phénoménale de son énergie … de son mental, de son sommeil, … et c’est pareil en ce qui me concerne … Sa carrière professionnelle intense peut se poursuivre mais surtout sa vie d’adulte et cela sans souffrance inutile, sans aucune médication et en toute harmonie.
Je n’aurais pas pu espérer meilleure rétribution à mon travail.
Il n’est pas le seul à avoir vécu des améliorations énormes, mais j’avoue que si j’avais su avant quel état était le sien je n’aurais pas osé espérer autant.
Votre second fils ne fait certainement pas face aux mêmes problèmes à cause de son hygiène de vie.
Pas encore.
Le temps le rendra obligatoirement plus lucide, ne vous inquiétez pas trop.
Il a tout sous les yeux, il réagira peut-être soudainement un jour et de manière radicale.
Comme je l’ai souvent écrit les maladies les plus graves de l’âge mûr, celles qui se développent sur une base auto-immune, sont installées en réalité dès avant 40 ans.
Oui il va falloir que je libère mon cerveau qui nage un peu trop dans le nickel, le mercure et le plomb.
Je « refilerai » le bébé à mes lectrices et lecteurs !
Merci encore infiniment Renzo pour cette excellente nouvelle.
Sachant que vous aussi vous vous portez bien.
Bonne soirée.
Marie.
Bonjour Marie,
Toujours un plaisir de vous suivre.
Le riz effectivement colle, et sa nocivité est due à cet effet colle et/ou aux anti nutriments?
Ne pouvons nous en manger un peu de de temps en temps si on le fait tremper quelques heures?
Dans le programme ASI qui m’a bien aidé, je me souviens que le millet est un aliments ++ pour l’intestin. Et c’est vrai, c’est vraiment efficace sur moi. Par contre, lorsqu’on le voit en visu, c’est super collant et gluant, alors pourquoi il ne va pas comme le gluten ou le riz se coller sur les parois des intestins? On m’a déjà posé la question, je n’ai su répondre 🙂
Ah, merci pour les conseils sur les kiwis, je constate que c’est super efficace sur la digestion en général. Avec la peau. Magique.
Au plaisir de vous lire,
Jeff
Bonjour Jeff,
Je me souviens bien de vous, heureuse de vous retrouver ici.
L’effet inflammatoire important du riz n’est pas dû à ses anti-nutriments.
Toutes les céréales en ont de toute manière.
Mais le problème est lié à sa composition particulière, qui n’est pas du tout celle du millet.
Même si colle il y a aussi avec le millet, parfois…!
L’un est un bienfait pour la muqueuse intestinale, l’autre l’agresse.
Malgré ce défaut du riz, si vous appliquez régulièrement les principes ASI, composition des repas et proportions, vous pouvez vous permettre du riz de temps en temps.
Cela dépend aussi de votre état personnel, des ennuis que vous aviez et n’avez peut-être plus ou de manière moins forte.
Le riz peut être une vraie catastrophe pour pas mal de maladies digestives auto-immunes.
Vous aviez dû lire sur le site de la formation la discussion au sujet de la cuisson du millet.
Et peut-être avez-vous oublié.
Dans la vidéo je donne ma méthode mais il y en a d’autres pour éviter que cette colle ne se forme.
Elle n’est pas bonne du tout au goût, mais n’a pas les effets de celle du riz. Rien à voir.
La discussion portait justement sur la manière d’obtenir un millet plus sec et bien cuit, léger et délicieux.
Tout dépend de l’équilibre entre quantité d’eau et temps de cuisson.
Cédric, notre expert Qi-Gong à nous, a laissé il y a quelque temps déjà un nouveau commentaire sous la vidéo.
Avec sa méthode qui semble infaillible et délicieuse.
Voyez bien comment éviter ce déséquilibre eau-temps de cuisson qui provoque la colle en fait.
Retournez sur le site et si votre code ne fonctionne plus dîtes-le moi.
Je le réinitialiserai.
Le système des formations limite normalement l’accès à un an. Ce que je n’ai pas choisi pour mes lecteurs.
C’est bien que vous ayez pu constater que la peau des kiwis fait cet effet sur la digestion.
Merci de nous en faire part.
C’est simple, efficace, pas mauvais et gratuit ! Il faut en profiter.
J’espère que vous reviendrez bientôt avec d’autres questions et témoignages aussi utiles.
Marie.
Bonjour Marie,
Merci pour vos explications! J’ai retrouvé mes accès à la formation ! ça march encore, 4 ans après !
Je vais la refaire du coup, tranquillement, et puis il y a peut-être eu des mises à jour depuis? En tout cas, je suppose de riches commentaires.
Je vais mieux, mais je peux progresser encore, d’autant plus que je fais encore quelques écarts (parmesan, parce que je me dis long affinage, donc plus de lactose, et très long affinage, la caséine se transforme en cristaux qui sont en fait de la tyrosine, mais je n’ai pas l’info si il reste de la caséine encore; sinon, je pense que mes doses de « sucres lent sont encore trop importantes… )
J’ai vu pour le commentaire de Cédric pour le millet, je vais tester !
Ah, pour le millet son IG est élevé il me semble, du coup il y aurait une astuce pour ne pas trop subir le choc glycémique…ah…peut-être ne pas abuser sur les quantités de glucides donc 🙁 😉 et avoir une bonne dose de légume à IG bas pour harmoniser?
Je vais prendre le temps de regarder un peu plus vos articles sur le site, j’en ai manqué quelques uns.
Merci pour votre générosité.
Jeff
Bonsoir Jeff,
Il n’est pas autorisé de venir ici me faire saliver par exemple avec le mot « parmesan » !!
Heureusement qu’il n’y en a jamais à la maison.
Je ne sais pas s’il reste de la caséine, aucune idée.
Si on commence à négocier avec ça on craquera pour tous les fromages, non ?
Vous avez tort vraiment de raisonner en termes de sucres lents, d’indice glycémique etc.
Je n’en parle pas dans ASI vous savez bien, ce sont de vieilles histoires qui ont montré leur total manque de pertinence.
Laissez tomber.
Si je parle de millet c’est qu’il ne pose aucun problème de ce genre, réécoutez la vidéo qui lui est consacrée.
Comment ça, on ne lit pas religieusement mes articles dès qu’ils sont publiés ?…!
Bonne soirée.
Marie.
Hello Marie,
Oups, je ne suis pas bon élève !
Le millet, j’adore, et j’ai récemment trouvé une marque de millet bio (cultivé en france) vraiment délicieuse.
Pour le Par….an ah là..là….c’est vraiment bon faut dire….
Ok je me tais !
A bientôt,
Jeff
Jeff…vous cherchez vraiment à me faire craquer ?
De toute façon je ne vous le dirais pas !
Pour le millet ne vous retenez pas.
Quelle marque ? Vous pouvez nous le dire.
Parce que parfois celui vendu en vrac est peu savoureux je trouve.
Merci.
Marie.