Cet article pourrait être le pilier de mon blog, car il vous prouve que nous
avons un pouvoir sur notre santé beaucoup plus grand que nous
le croyons généralement, et que le corps médical veut bien nous le dire.
Vous verrez que même dans un cas de maladie très sérieuse l’alimentation
peut éviter le pire.
Imaginez alors ce que peut la seule prévention lorsqu’aucune maladie n’est
encore diagnostiquée. Profitez de ce pouvoir !
Vous encourager à le faire est la raison d’être de mon blog.
Bonne nouvelle, nous avons un pouvoir sur notre santé qui est immense
Le chercheur Blair Justice, américain qui a écrit Qui tombe malade ?
n’accorde que 35% de part de responsabilité à nos gènes dans notre longévité.
Ce sont l’alimentation, l’exercice, nos états émotionnels et les conditions
environnementales qui nous permettent de vivre, ou non, plus longtemps.
Ainsi notre mode de vie et nos croyances ont bien plus d’effet sur notre santé
que nos gènes.
A mes yeux il ne peut y avoir de meilleure nouvelle !
Nous avons donc du pouvoir sur notre santé, nous ne sommes pas dépendants
totalement de notre naissance.
Cela se joue au niveau de l’énergie vitale, augmentée ou diminuée par les
facteurs énoncés plus haut. Les médecines orientales le savaient déjà.
Notamment la chinoise qui pratique par exemple l’acupuncture et utilise
les aliments comme des médicaments.
La biologie la plus actuelle est en train de le redécouvrir.
En un mot, si vous avez l’habitude de manger dans la tristesse votre plat de riz au
lait, acheté tout préparé dans un commerce ordinaire, après l’avoir réchauffé au
micro-ondes, il se pourrait que vous ne viviez pas très vieux !
Je caricature à peine.
D’où vient ce pouvoir sur notre santé ?
Notre science la plus officielle vit depuis plusieurs décennies sur la conviction que
tout est génétique. Joué d’avance !
Vous avez hérité du diabète familial, c’est comme ça !
Ou de tout autre problème sympathique.
On nous parle beaucoup d’ADN, de gènes, de code génétique, de génome.
Mais jamais d‘épigénome. Il a pourtant un bel avenir !
« Epigénome », c’est-à-dire au-dessus du génome.
Il a donné son nom à cette science de pointe qu’est l‘épigénétique.
Et c’est sur cet épigénome que l’on peut agir.
C’est par son intermédiaire que l’alimentation, le stress et même la nutrition
prénatale laissent une empreinte sur les gènes, transmise de génération en
génération.
Nous pouvons donc modifier les données de départ.
Mais nous pouvons tout autant les endommager…
Et nous ne nous en privons pas, malheureusement !
En fait tout ce que nous mangeons, respirons et pensons a un impact sur nos
gènes, donc sur notre santé quotidienne et notre longévité.
Ce qui explique que de parfaits jumeaux puissent ne pas avoir le même parcours
médical. Avec ou sans cancer, avec de l’obésité ou pas etc.
Bruce Lipton, dont j’avais lu le livre sorti en 2005, est un des premiers qui a
affirmé que notre ADN n’est pas immuable.
Il n’attend que d’être mieux orienté pour permettre une vie meilleure à chacun
et donc à toute la société.
Nourrissons notre corps avec ce dont il a vraiment besoin
Tout cela me permet de réaffirmer l’objectif de mon blog, à savoir vous donner
le goût et l’énergie de ne plus vivre votre état de santé comme une fatalité.
Vous faire prendre conscience de votre pouvoir réel sur votre corps, par le
biais de bons choix alimentaires entre autres, puisque c’est le sujet de mon blog.
De manière à éviter autant que possible et le plus longtemps possible les
dégradations de ce corps.
Chacun choisit, évidemment, de vivre comme il le veut, de se nourrir comme il
le veut, mais pour choisir il faut connaître un minimum les conséquences de
ses choix.
Sinon le choix n’est pas libre.
Sachant, comme le dit l’épigénétique, que chaque aliment avalé a une conséquence
directe et immédiate sur nos gènes, donc sur notre santé, il est important d’avoir
une certaine régularité dans nos bonnes habitudes.
Il est important d’avoir une alimentation quotidienne de base aussi « bonne »
que possible. C’est là que se joue la prévention.
Et se faire plaisir de temps en temps, oui bien sûr, si c’est réellement de temps
en temps…
Tout laisse des traces. Il n’est pas utile d’en accumuler trop.
Les compléments alimentaires, détox et autres cures ne remplaceront jamais
une alimentation quotidienne de qualité.
Une journée de jeûne, c’est très bien, en cas d’urgence mais cela ne peut être une
autorisation à manger un sachet de chips par semaine, ou un dessert sucré plusieurs fois
par semaine.
Découvrez maintenant comment une personne que j’ai récemment rencontrée
a su choisir la voie de la liberté et non celle de la dépendance qui attend
tant de personnes dans son cas.
« On est tellement mieux après ! »
La semaine dernière, j’étais en train de choisir mon thé oolong préféré quand
une cliente près de moi m’a demandé :
» le canard, c’est le cousin de l’oie ? »
Devant mon envie de rire, elle a commencé à s’expliquer.
Son problème était de savoir si elle pouvait acheter le pâté d’oie qui lui faisait
envie. Mais pour se l’autoriser il fallait qu’elle sache si l’oie mange comme un
canard ou comme un poulet !
Je ne passe pas mon temps à observer les moeurs de ces volatiles, j’ai donc
imaginé leur bec et il m’a semblé qu’il ressemblait plus à celui d’un canard
qu’à celui d’un poulet qui picore des grains, de blé par exemple !
Il a été diagnostiqué chez Florence, cette personne qui ne mange pas de poulet,
une polyarthrite rhumatoïde qu’elle a désiré soigner par
des changements alimentaires.
Le but étant de diminuer le niveau de l’inflammation dans son corps,
en évitant les aliments qui la déclenchent, notamment le blé.
D’où sa préférence pour les canards !
J’étais déjà ravie de voir quelqu’un qui avait entrepris un changement
d’habitudes important pour sa santé.
Mais je l’ai été encore plus quand elle m’a montré ses mains.
Des mains aux doigts agiles, libres de toute rougeur, de toute enflure même
minime, des mains d’accordéoniste professionnelle !!
Résultats également confirmés par les analyses.
Je lui faisais remarquer que malheureusement peu de gens acceptent de se libérer
de leurs goûts et de leurs envies, même quand ils sont malades.
Et elle m’a répondu en souriant largement :
» on est tellement mieux après ! »
On peut se demander dans le cas de Florence quelle est la part du plaisir.
C’est le vrai plaisir de la santé retrouvée, pas le plaisir superficiel du morceau
de galette des rois.
Le plaisir d’être libérée de la souffrance, libre de jouer de l’accordéon.
Et les efforts qu’elle consent ne sont pas vécus dans la frustration.
Elle n’est pas dans la dépendance face à sa gourmandise.
Et elle a beaucoup diminué la quantité de médicaments, et espère pouvoir
diminuer encore à l’avenir.
Nous ne sommes pas tous atteints de maladie grave, mais nous avons tous
envie de l’éviter.
Vous-même, atteint ou non par un problème grave de santé, êtes-vous prêt à
modifier vos habitudes alimentaires, à apprendre à cuisiner autrement, comme
Florence l’a fait ?
Ou préférez-vous vous convaincre que la maladie est de toute façon inévitable
et que les médicaments sont les seules solutions ?