Sauver votre cerveau est certainement un objectif santé qui dépasse tous les autres à vos yeux. J’imagine.
Pourtant votre hygiène alimentaire quotidienne est bien loin de permettre un tel objectif. Et vous ne vous en doutez pas, ou vous ne voulez peut-être pas l’entendre. Il faut pourtant être lucide au vu des preuves scientifiques et cliniques sans appel.
Je n’oublie pas le cerveau des jeunes enfants autistes, concerné de la même manière.
Dans mon dernier article j’avais insisté sur la nécessité de diminuer autant que possible notre état de stress. Le stress étant un obstacle absolument majeur à toute santé de qualité.
Mais il existe d’autres obstacles tout aussi majeurs à l’installation d’une bonne santé durable, issus de nos habitudes alimentaires par exemple. De nos habitudes les plus ancrées, les plus tenaces souvent.
Et c’est là que la détermination et la responsabilité de chacun, le niveau de conscience de chacun, sont des éléments décisifs.
En un mot il faut savoir ce que nous voulons ! Le beurre et l’agent du beurre, qui y croit encore ?
Boire sa tasse de mélisse en mangeant un biscuit, ça ne marche pas totalement !
En manger ou pas ?
Il n’y a rien de moral ou pas moral à manger du gluten. La question ne se situe pas là. Il ne s’agit donc pas ici de juger, mais d’aider à éviter le pire.
Le gluten est tout simplement (avec les produits laitiers) l’aliment le plus dangereux pour notre cerveau et pour tout notre corps ! Et à tout âge.
Oui je reconnais que c’est bien triste !
Cet article cherche à vous ouvrir les yeux avec des preuves irréfutables. Et à vous responsabiliser dans votre conquête d’une santé meilleure. Sinon vous ne me liriez pas, non ?…
Prendre soin de sa santé n’a rien à voir avec adopter une mode alimentaire nouvelle ou avec l’achat de compléments alimentaires. Il ne s’agit là que de fuite, de refus de regarder en face nos choix, nos habitudes. Nous savons tous où cela mène.
Même si parfois les compléments alimentaires sont tout à fait nécessaires. Mais sans changement alimentaire réel ils ne servent à rien, qu’à vous faire dépenser de l’argent, pour votre bonne conscience et le bonheur de qui vous savez !
Le gluten contribue très fréquemment au dysfonctionnement du cerveau.
Je sais que vous lisez et entendez exactement le contraire de la part de tous ceux qui devraient pourtant suivre un peu plus les études parues depuis de nombreuses années maintenant.
Vous trouverez ces études à la fin de l’article, numérotées dans le texte. Cela alourdit moins la lecture de l’ensemble.
Il serait très utile que vous puissiez transmettre ces études aux personnes qui doutent, qui refusent de savoir, enfin à toutes celles qui parlent de ce qu’elles ignorent.
Copiez la liste et il ne restera plus qu’à taper chaque référence dans le navigateur pour que les personnes concernées lisent. Raison pour laquelle je n’ai pas donné de liens.
La plupart des gens qui souffrent de problèmes neurologiques à cause d’une sensibilité au gluten, ne ressentent aucune forme de symptômes au niveau gastro-intestinal. (1)
Ce qui signifie que si vous consommez du gluten sans avoir à vous plaindre de réactions au niveau intestinal, cela ne prouve pas que ce gluten ne vous nuit pas, et même gravement souvent.
Il faut cesser de colporter ces fausses croyances. Par ignorance ou parce que cela arrange.
Et il arrive même que des malades atteints par la maladie coeliaque ne ressentent pas de symptômes intestinaux non plus ! (1)
D’ailleurs, pour 1 patient atteint de maladie coeliaque avec symptômes intestinaux, il y en a 8 qui eux, tout en étant atteints aussi par cette maladie, souffrent à d’autres endroits du corps, et c’est souvent au niveau du cerveau que ces symptômes se manifestent :
Il s’agit par exemple de fatigue chronique (2), de maux de tête (3) l’étude a prouvé que ces symptômes sont également déclenchés par les produits laitiers, de démence et de maladie d’Alzheimer (4), d’épilepsie (5), de douleurs récurrentes type rhumatismal à divers endroits du corps (6).
J’ai choisi ces symptômes ou maladies mais il y en a beaucoup d’autres liés également au cerveau.
Vous pouvez donc très bien souffrir d’une sensibilité au gluten et même d’une maladie coeliaque sans vous en douter ! Parce que vos symptômes se manifestent ailleurs que dans l’intestin.
Alors qu’on vous a probablement dit que c’était l’âge, que l’on ne sait pas, que…!
En tous cas on vous aura nécessairement assuré que si vous n’avez pas de douleurs intestinales c’est que le gluten n’y est pour rien ! Alors que des milliers d’études prouvent exactement le contraire et depuis longtemps maintenant.
Les humains ne possèdent pas d’enzymes capables de digérer complètement les protéines du gluten contenu dans le blé, épeautre compris, le seigle et l’orge
Le Professeur Alessio FASANO du Centre de Recherche de l’Université de Harvard a montré que le gluten du blé entraînait une hyperperméabilité de la muqueuse intestinale à cause de l’inflammation importante chez chaque être humain. (7)
Ces molécules très grosses de gluten passent à travers la muqueuse et déclenchent une réaction immunitaire. C’est-à-dire une fabrication d’anticorps au gluten qui est vécu comme un intrus à éliminer.
Ces anticorps s’attaquent ensuite à des tissus contenus dans nos organes car ces tissus possèdent certaines protéines identiques à celles du gluten. D’où les dommages.
Et l’organe attaqué par ces anticorps sera celui qui est le plus faible chez la personne. Or il se trouve que le cerveau est justement cet organe le plus faible chez nombre d’entre nous.
Dans une étude (8) menée en Italie en 2014 dans 34 centres qui traitent les désordres liés au gluten, on a trouvé que parmi les patients non atteints de maladie coeliaque, mais seulement d’une sensibilité au gluten, les symptômes les plus fréquents étaient :
à 64% de la fatigue, à 68% un manque de bien-être, à 54% des maux de tête, à 39% de l’anxiété, à 38% de la confusion mentale.
Les anticorps au gluten chez les enfants autistes
Une étude publiée en 2004 dans le Nutritional Neuroscience Journal (9) a découvert que 84% des enfants autistes avaient des anticorps au gluten, aux oeufs et aux produits laitiers.
Alors que chez les enfants non autistes on n’en trouve que 1 %.
Ces anticorps, et l’inflammation qui y est associée, créent des dommages pouvant tout à fait être responsables des symptômes neurologiques vécus par les enfants autistes.
Même si les causes de l’autisme sont multiples.
Votre cervelet, le gluten et l’escalier
Le cervelet est une partie du cerveau qui contrôle les mouvements et l’équilibre. Et à l’intérieur de ce cervelet il y a de gros neurones appelés les cellules de Purkinje, du nom de celui qui les a découverts à la fin du XIXe siècle.
Or des tests ont montré que le gluten s’attaquait au cervelet en créant des anticorps à ces cellules de Purkinje, ce qui était en lien direct avec un problème de coordination des mouvements.
C’est la raison pour laquelle souvent lorsque les gens vieillissent ils perdent plus ou moins l’équilibre dans les escaliers ou ailleurs. Trébuchant ici ou là.
Des années de gluten ont amené le cervelet à se réduire, à rapetisser, en tuant petit à petit les fameuses cellules.
On appelle cette maladie l’ataxie cérébelleuse.
Que pouvez-vous faire ?
J’ai bien conscience que tout ce que je viens d’écrire est lourd…
Mais la séquence bisounours vous savez que ce n’est pas par ici que vous la trouverez.
Ce serait bien que celles et ceux qui se sont lancé(e)s sur le chemin de la suppression du gluten viennent ici en parler. Comment vous avez fait, avec quelle réussite ? Vous avez rechuté souvent ? Vous n’en mangez plus maintenant ? Après combien de temps ?
Parce que ce n’est pas simple du tout, du tout !
Si vous êtes intéressé(e) de connaître la méthode sans douleur ni frustration que j’ai employée pour me libérer du gluten, dîtes-le moi.
Cela vaut la peine car elle a tellement bien fonctionné pour moi. Inventée sur le tas face à mes difficultés. Mais croyez-moi je n’ai plus la moindre envie et le moindre plaisir à avaler du gluten, sous n’importe quelle forme. Il faut par contre accepter que cela prenne du temps.
Le rayon pain des magasins me laisse indifférente, je le regarde avec insistance pourtant ! Même l’odeur si irrésistible ne me fait plus réagir.
A vous de me le dire en commentaires ou par mails.
Remarque :
Ce que je viens de démontrer sur le lien cerveau-gluten je pourrais le faire également à propos de n’importe quel organe ou système du corps. Les études sont innombrables depuis une quinzaine d’années.
Comme je l’ai déjà dit quelque part ailleurs, toute maladie auto-immune a un lien avec le gluten. C’est-à-dire les maladies chroniques.
Et le gluten nourrit les affections respiratoires car il nourrit les virus…
REFERENCES
- Hadjivassiliou M, Sanders DS, Grünewald RA, Woodroofe N, Boscollo S, Aeschlimann D. Gluten sensitivity ; from gut to brain. Lancet Neurology 2010 Mar; 9(3):318-30.
2. Skowera A, Peakman M, Cleare A, Davies E, Deale A, Wessely S. High prevalence of serum markers of celiac disease in patients with chronic fatigue syndrome. Journal of Clinical Pathology 2001 Apr;54(4):335-6.
3. Perlmutter D, Vodjani A. Association between headache and sensitivities to gluten and dairy. Integrative Medicine 2013 Apr;12(2):18623.
4. Daulatzai MA,. Non celiac gluten sensitivity triggers gut dysbiosis, neuroinflammation, gut-brain axis dysfunction, and vulnerability for dementia. CNS Neurological Disorders-Drug Targets 2015;14(1):110-31.
5. Gobi G. Celiac disease, epilepsy and cerebral calcifications. Brain and development 2005 1pr;27(3):189-200 Review.
6. Isasi C, Tejerina E, Moran LM. Non-celiac gluten sensitivity and rheumatic diseases. Rheumatologia Clinica 2016 Jan-Feb;12(1):4-10.
7. Hollon J, Puppa EL, Greenwald B, Goldberg E, Guerrerio A, Fasano A. Effect of gliadin on permeability of intestinal biopsy explants from celiac disease patients and patients with non-celiac gluten sensitivity. Nutrients 2015 Feb 27;7(« ):1565-76.
8. Volta U, Bardella MT, Calabro A, Troncone R, Corazza GR. Study group for non-celiac gluten sensitivity . An Italian prospective multicenter survey on patients suspected of having non-celiac gluten sensitivity. BMC Medicine 2014 May 23;12:85. doi: 10.1186/1741-7015-12-85.
9. Vojdani A, O’Bryan T, Green JA, McCandless J, Woeller KN, Vojdani E, Nourian AA, Cooper EL. Immune response to dietary proteins, gliadin and cerebellar peptides in children with autism. Nutritional Neuroscience 2004 Jun7(3):151-61.
Bonjour Marie,
Merci pour votre article très intéressant sur le gluten, je désire vraiment connaître votre méthode pour arriver à me défaire définitivement de ce poison.
J ai conscience que c est un long travail mais qui en vaut la peine !!!
Je vous embrasse et vous remercie GRANDEMENT pour qui vous êtes.
Bien cordialement.
Nassera
Bonjour Marie, toujours un plaisir de vous lire.
Pour ma part, j’ai essayé d’arrêter le gluten mais c’est très difficile surtout quand les autres a la maison en mange. Mais quand même diminuer très fortement ça consommation, par contre je prend du sarrasin « pains des fleurs » je c’est pas cela est bon. Je serai TRÈS INTÉRESSÉ par ta méthode. Au plaisir de te lire merci
Bonjour Marie
Très contente de vous lire à nouveau. J’aimerais bien connaître votre méthode pour ne plus consommer de gluten.
Merci encore pour toutes ces informations
Merci Marie pour cet article encore tres interessant , pour ma part j’avais arrete le gluten , et j’ai craqué une fois sur des crepes , au bout de deux crepes j’ai senti une lourde douleur au ventre et je me suis vraiment rendu compte de la nocivite et de tout ce que tu disais
Bonjour Nassera,
Eh bien moi je vous remercie pour ces mots chaleureux.
Ils me touchent beaucoup.
Le gluten se comporte exactement comme une drogue en nous.
Rien d’étonnant à ce que nous soyons addicts.
Le chemin est long mais on n’est pas obligé de le rendre douloureux.
De toute manière cela ne marche pas.
Je vais voir comment présenter ma « méthode », cela risque d’être un peu long sous forme d’article.
Parce qu’il faut des détails presque quotidiens !
Je vous embrasse Nassera, merci.
Marie.
Bonjour Abdoul,
Oui Abdoul c’est vraiment difficile, mais avec des gens qui autour de nous en mangent cela devient de l’héroïsme !
C’est déjà très bien de parvenir à diminuer la quantité.
Pourtant cela ne peut suffire.
Je me souviens de ce médecin qui, la première et la seule, m’avait dit de ne plus consommer de produits laitiers.
Il y a bien longtemps.
Je lui avais répondu que j’en connaissais les dangers et que je ne consommais qu’un yaourt par jour et peu de fromage.
Elle m’avait dit que la quantité ne change rien.
C’est au niveau chimique que cela se passe, donc même une petite quantité crée le problème quand même.
Ce qui est vrai bien sûr.
Le Pain des Fleurs n’est pas idéal puisque le grain de sarrasin ou d’autre céréale est traité à si haute température que sa protéine se retrouve détériorée.
Mais face au défi du gluten c’est quand même une bonne solution.
Et c’est bon en plus.
Moi je n’ai pas réussi avec la méthode des substitutions, c’est-à-dire en remplaçant par autre chose.
Parce que l’envie est toujours là.
Entre le Pain des Fleurs et du bon pain complet, ou une baguette…, le choix est vite fait !
Merci et à bientôt.
Marie.
Bonjour Rosa,
Je sais Rosa que je ne suis plus très active sur mon site, malheureusement.
Des contraintes personnelles en tous genres m’en empêchent depuis trois ans.
Mais je suis toujours très heureuse de venir lire ici les messages que me laissent mes lectrices et lecteurs fidèles.
Et de leur communiquer ce que j’ai appris.
Vous avez bien raison de chercher à prendre vos distances avec ce fichu gluten.
A une autre fois j’espère.
Marie.
Bonjour Cédric,
Donc je lis bien, tu as réussi à ne plus manger de gluten ?
Sauf occasion rare et qui te laisse un mauvais goût on dirait.
C’est vrai, quand on est sevré, on a l’impression d’avaler un caillou en avalant la moindre bouchée de pain.
Parce que j’ai fait des « expériences » pour tester mes réactions.
Pour savoir si l’addiction revient ou pas, si la digestion est perturbée ou pas.
Et le verdict est sans appel comme pour toi.
Comment tu as fait alors ?
En combien de temps ?
Tu craques tous les combien ?…!
A bientôt.
Marie.
Bonjour Marie,
Je vous remercie pour ce nouvel article sur le gluten.
Je le trouve très fort en message.
Depuis 2 ans que je connais votre site, mis à part quelques repas en famille, je n’avais pas fait d’écarts pour le gluten et les produits laitiers. En tout cas, jamais chez moi et sans frustration apparente. Ceci dit, j’ai lu que la moindre bouchée de gluten reste 6 mois dans notre corps finalement je n’ai jamais été « clean ».
Dans le peu de magasins que je fréquente, je ne regarde pas le rayon des pains, je suis même en train de me demander si à Biocoop ils vendent du pain ! J’ai envie de dire non. La prochaine fois, je regarderai mieux car cela semble étonnant. Je ne vais pas dans les boulangeries car j’ai trop peur que les gâteaux me fassent de l’œil.
Oui, j’aimerai bien connaître votre méthode sans douleur ni frustration pour se libérer du gluten.
Cette méthode fonctionnera peut-être pour les rayons délicats pour moi, les fruits secs : mangues, dattes, figues…
Je vous souhaite une belle journée.
Brigitte
Bonjour Marie,
Votre messagerie mariekelenn@gmail.com fonctionne-t-elle ?
J’ai un message de non distribution.
Bien cordialement.
Brigitte
Bonjour Marie , eh oui décidément le gluten est nocif pour notre santé …mais , parce qu’il y a souvent un mais , autant je peux me passer de pâtes sous toutes leurs formes ( spaghet bolo , lasagnes , tagliatelles au pesto etc ) pour les tartines du matin , du pain sans gluten ? encore faut-il avoir une bonne recette , que je suis prête préparer . Je ne mange pas de fruits ou très très peu et jamais « à jeun » , ça me « creuse » l’estomac . Les jus de légumes n’ont pas ma faveur non plus ! Alors une méthode sans frustration , oh oui , je suis preneuse .
Merci Marie pour toutes les recherches que vous effectuez et dont vous nous faites profiter . Belle journée .
Bonsoir Marie,
Voici un article très intéressant, qui concerne tout le monde, car nous vivons dans une civilisation du «pain quotidien », des pâtes…
J’adore le pain (beurré éventuellement!) et sachant cependant que tout ça n’est pas
sain je me suis restreinte à n’en prendre qu’au déjeuner, et de temps en temps.
Mais en effet, je lis dans vos commentaires que même en petites quantités, ça n’est pas bon. Comme pour tous les additifs.
Je ne mange plus de pâtes depuis longtemps, j’ai pu m’en passer facilement.
Aussi j’aimerais vraiment savoir comment me sevrer du pain.
Je vais en attendant, commencer par me procurer votre nouveau livre !
Je vous remercie vivement pour vos conseils, et je vous suis très reconnaissante pour tous vos articles, tout cet immense travail dont vous nous faites profiter.
Une très belle soirée à vous,
Capucine
Bonjour Marie
Quel plaisir de vous lire à nouveau.
Hélas j’ai craqué mais moins qu’avant, je n’ai pas trouvé de méthode efficace 🙁 Si vous en avez une je suis preneuse.
Mes amitiés à vous et merci pour tout
Laïdia
Bonjour Marie
Il y a deux ans, j’ai rencontré une naturopathe qui a changé ma vie. Je souffrais d’infections orl très violentes avec de fortes fièvres, le tout à répétitions, 4 fois par an minimum!( Antibiotiques etc…)
Je suis un régime sans gluten et sans lait. Difficile pour moi, car j’adore le fromage et le pain qui croustille…, mais trois mois environ après ce régime, j’ai repris des forces et plus d’infection. Le changement a été radical, personne ne comprenait le « pourquoi » de ces infections, c’était infernal. Je tiens à vous écrire pour témoigner et vous dire combien vous avez raison, et permettre à d’autres personnes de ne pas hésiter, il faut y aller car on peut se régaler en changeant son alimentation. Je mange bio et pas de sucre blanc non plus! Merci à vous pour vos conseils même si c’est difficile en société car on ne peut pas convaincre au risque de rendre certains agressifs, donc quand je suis invitée, je fais un écart pour me noyer dans la masse! Je lis tous vos articles avec beaucoup d’intérêts. I.R
Bonsoir Brigitte,
On dirait que vous n’avez pas beaucoup de peine à vous priver de gluten.
Parce que vous savez que votre santé en dépend et que cela suffit ?
Bravo et tant mieux pour vous.
Ce qui veut bien dire qu’il faut d’abord être correctement informé.
Si on a un doute cela devient difficile.
Par contre vous avez bien compris que consommer du gluten même rarement maintient les effets sur le système immunitaire.
Vous devriez essayer de vous imposer en famille.
Vos ennuis c’est vous seule qui les vivez et les vivrez plus tard éventuellement.
Nous sommes seul(e) dans notre corps, personne ne peut et ne doit y intervenir, sans notre consentement.
Les fruits secs sont très chargés en sucre et donc modérer la quantité est nécessaire.
Mais leur impact n’a rien à voir avec celui du gluten.
Comme le dit Nasséra pour notre corps le gluten est un poison.
Je suis aussi parvenue à me libérer de la glace au caramel au beurre salé de la même manière !
Ne riez pas mais c’était une attirance un peu démesurée…
Et plus dangereuse que celle pour les fruits secs !
Vous devriez donc parvenir aussi à limiter les envies de ces fruits secs.
Mais je vous assure que la suppression définitive du gluten est bien plus essentielle pour vous.
Je ne parle même pas des produits laitiers.
Merci de votre message.
Relisez cet article au sujet de l’autoimmunité et comment elle s’installe à jamais en nous :
https://nourriture-sante.com/maladie-auto-immune-evitee-stoppee/
Je reviens ajouter, qu’en effet, cet article a pour objectif également de pointer une situation que je trouve choquante et même plus !
Un récent sondage a révélé que les Français, ô surprise, sont surtout préoccupés par leur santé !
Eh oui on les bassine suffisamment.
Sauf que l’essentiel n’est pas dit à ces Français qui ont la pétoche : le gluten est votre ennemi numéro un puisqu’il détruit votre système immunitaire à petit feu.
Pire j’ai lu il y a deux jours un article écrit par un journaliste qui n’a signé que par son prénom.
Le sujet de son texte c’était de ridiculiser les gens qui se soucient du rôle du gluten dans la santé.
Le gluten ? Mais c’est nécessaire, gare aux carences !
Sauf rares exceptions, j’en connais pas loin de chez moi, les médecins ne savent rien au sujet du gluten.
On a le droit d’être ignorant, mais pour un professionnel de la santé c’est un peu plus gênant.
Normalement quand on ignore un sujet on ne donne pas son avis.
Et là il y a un comportement bien dangereux : « mais enfin ce sont des sornettes, le gluten ne fait de mal qu’aux malades céliaques et Crohn ».
J’ai du mal à supporter que ces professionnels soient payés pour générer des erreurs aussi nuisibles à la santé.
Vous avez vu que je n’ai pas donné des liens vers les études mais des références.
Ce serait utile que la prochaine fois que vous interrogez votre médecin ou diététicien, vous lui soumettiez cette liste d’études photocopiée…
La connaissance pour être utile doit circuler non ?
Si chaque lectrice ou lecteur le faisait ?
Bonne fin de journée.
Marie.
Oui Brigitte, on dirait bien.
Je n’ai pas reçu les notifications de commentaires sur cette boîte, ce qui n’est pas normal.
Je me doutais qu’il y en aurait, je suis donc venue voir.
Pas normal. Je verrai quand j’aurai le temps.
Merci en tous cas.
Marie.
Bonsoir Marie-Chantal,
Il ne s’agit pas de trouver des substituts au gluten, comme je le disais à Abdoul.
Les farines sans gluten sont des bombes de sucre et autres ingrédients pas toujours nets.
Voyez cet article : https://nourriture-sante.com/farines-sans-gluten-et-alors/
En transition peut-être, mais en général les gens en consomment en continu.
Oui je n’ai pas senti de frustration, c’est vrai.
Je mangeais le pain avec plus de plaisir que n’importe quelle pâtisserie…
Je cuisinais beaucoup, j’aime ça, cakes salés, tartes salées, tourtes etc. !!
Cela a donc été difficile et long.
Vous devriez y parvenir aussi.
Merci de votre passage ici.
A une autre fois.
Marie.
Bonjour Marie,
En suivant votre formation anti-inflammatoire, j’ai pu arrêter le gluten. Sans trop de difficulté, car j’avais cessé de prendre un petit-déjeuner quatre ans plus tôt, ce qui m’avait d’ailleurs fait le plus grand bien. Moi qui souffrais sans cesse de la faim, curieusement, c’était au lever que je n’avais aucun appétit, et je me forçais à avaler mes tartines parce que, n’est-ce pas, « c’est le repas le plus important de la journée ».
Pendant trente ans je me suis fait violence pour avaler quelque chose pour démarrer la journée. Trente ans à me conformer à un conditionnement idiot.
Alors oui, j’ai souffert les deux premiers mois, car la faim venait en cours de matinée et je me suis souvent demandé si je tiendrai le coup jusqu’à midi. Et puis je m’y suis fait. J’ai vaincu la faim, je peux même m’endormir avec un creux à l’estomac, je remarque le phénomène et l’oublie aussitôt, alors qu’avant, je n’aurais pu fermer l’oeil.
Du coup, arrêter le gluten s’est révélé très facile. Les efforts avaient été faits auparavant.
La difficulté est juste de trouver assez de légumes bio sur le marché pour tenir toute la semaine, ce qui n’est pas toujours le cas et je dois compléter (horreur !) avec des boîtes de conserves.
J’ai hâte de m’acheter un terrain pour avoir mon potager (démarches en cours).
Si l’odeur du pain chaud me semble toujours agréable, je n’ai en revanche aucune envie d’en manger. D’autant qu’une expérience douloureuse m’est arrivée à Noël dernier : invité chez ma nièce, j’ai voulu faire plaisir en goûtant un de ses biscuits au gingembre, ainsi qu’un sablé de mon frère ; difficile de résister aux pressions familiales, c’est finalement la principale difficulté : l’hurluberlu qui ne fait pas d’effort alors qu’on s’est donné tant de mal pour préparer selon les traditions et blablabla. Et puis le soir, lasagnes.
Je l’ai payé par six jours d’indisposition avec douleurs intestinales, ce qui ne m’arrivait jamais auparavant, lorsque j’étais intoxiqué. Les diarrhées étaient fréquentes, mais quasiment indolores. Cette fois, j’ai vraiment réalisé à quel point le corps réagissait vivement à une nouvelle dose de poison.
Désormais, je sais qu’il me faut impérativement éviter le gluten sous toutes ses formes.
Toutefois…
Si l’arrêt du petit déjeuner m’a fait le plus grand bien, l’arrêt du gluten ne m’a rien apporté de remarquable. Ce sont de petits indices qui me font comprendre que je ne suis pas en mauvaise santé, surtout si je me compare (j’ai 57 ans). Je ne vois pas le médecin, je suis épargné par les douleurs, n’ai plus de sinusite (chouette !), alors j’en déduis que le manque de problèmes est bon signe. Il est difficile d’estimer des bienfaits par une absence d’inconvénients.
Mon problème récurrent, depuis toujours (je ne me souviens pas étant enfant, mais adolescent, oui, et on me disait « c’est la croissance »), est celui d’une fatigue chronique. L’arrêt du gluten n’a eu aucun effet.
J’ai stoppé les « produits laitiers » (je déteste cette expression) pendant six semaines, et n’ai noté aucun changement. Je suis accro au fromage (lait cru), surtout de chèvre, et j’aime le fromage blanc.
Et là, ce serait vraiment un drame si je devais m’en priver. Plus dur que le chocolat ou le café, que je consomme toujours. A chacun ses petites faiblesses…
Quoi qu’il en soit, merci pour ce programme et pour vos articles. Vous êtes MA référence santé, et il est bon d’avoir quelqu’un sur qui s’appuyer.
J’attends de me refaire financièrement pour vous demander des conseils personnalisés.
P.S. Vous pouvez reprendre des phrases de ce texte en témoignage si vous en voyez l’utilité.
Bonsoir Capucine,
C’est vrai, les produits contenant du gluten sont partout.
Il y a même du gluten dans une majorité de produits transformés comme les sauces etc.
Et on ne s’en doute pas.
Une vraie plaie !
Moi aussi me passer de pâtes ne m’a pas fait souffrir, mais le pain, quelle misère.
Cela a été long mais je n’avais rien à perdre, y parvenir un jour c’est mieux que jamais !
Avant l’épreuve de l’escalier cela peut être utile…
Allez retrouver cet article au sujet de l’autoimmunité, vous verrez que on ne se libère pas facilement des effets du gluten (par exemple) :
https://nourriture-sante.com/maladie-auto-immune-evitee-stoppee/
La protéine de gluten n’étant pas digérée correctement elle devient un corps étranger dangereux quand elle a passé la muqueuse intestinale.
Et qu’elle arrive dans le sang où elle ne devrait pas se trouver.
Elle a créé de l’inflammation donc de l’hyperperméabilité dans la muqueuse.
A force de parvenir dans le sang il y a un moment où le système immunitaire ne supporte plus et déclenche la fabrique des anticorps à ces particules de gluten.
Qui iront, comme dit dans l’article, s’attaquer à des protéines de vos tissus sous prétexte qu’elles sont identiques à celles du gluten.
Les dégâts auront lieu et ne peuvent se réparer que si plus jamais des anticorps au gluten sont fabriqués.
Donc si on n’en consomme plus !
La vie d’un anticorps est d’environ 3 semaines.
Vous voyez que le supprimer totalement est la seule solution.
Sinon la production d’anticorps reprend.
On n’en finit pas et on se retrouve avec des maladies chroniques, autoimmunes que l’on attribue à pas de chance ou à l’âge.
Ce qui est parfaitement faux.
Quand les tissus sont détruits par des anticorps l’organe en question ne fonctionne plus normalement, voir le cervelet…
Le cas aussi de la thyroïde.
Bon déjeûner demain…!
Marie.
Bonsoir Laïdia,
Vous avez craqué, eh bien vous n’êtes pas la seule !
Et il faut accepter car c’est nécessaire, mais c’est ensuite que l’on peut influer sur nos réactions futures.
J’ai beaucoup craqué, fait ce qu’il ne fallait pas, comme compter sur ma volonté.
On y croit tous et c’est la recette pour craquer encore.
Je devrais avoir rédigé les détails de ma « méthode » pour mardi prochain.
Je la présenterai en PDF à télécharger je pense.
Elle vous aidera j’espère.
Je n’avais pas prévu en fait que cela intéresserait beaucoup de gens.
J’ai eu des demandes par mail aussi.
Merci pour ce commentaire qui me fait grand plaisir.
Amitiés à vous Laïdia.
Marie.
Bonsoir Isabelle,
Je ne sais combien d’années vous avez « erré » avant de rencontrer cette naturopathe, mais c’est incroyable qu’avec de tels symptômes on ne vous ait pas dit plus tôt de cesser gluten et lait.
En tous cas tant mieux pour vous de l’avoir enfin trouvée.
Et surtout bravo parce que dire que vous n’en consommez plus du tout alors que vous les adorez, c’est admirable.
Et je vous remercie de venir nous montrer à quel point cette suppression a été bénéfique.
J’espère bien que des lectrices et lecteurs peu convaincus vous liront.
Tous ont besoin de savoir.
Et un témoignage touche plus que des études, même pleines d’exemples parlants.
Merci d’encourager les gens à se lancer comme vous dîtes.
De toute manière, que l’on soit sensible ou non au gluten, de manière visible je veux dire, en manger nous rapproche de notre seuil de tolérance personnelle.
Et lorsqu’il est franchi, c’est-à-dire lorsque les anticorps ont suffisamment détruit des tissus vitaux dans les organes (ils le sont tous en fait), c’est la catastrophe qui vient.
Les organes se mettent à dysfonctionner sérieusement, avant ce n’était que des troubles plus légers.
Et c’est le déferlement des noms affreux de maladies.
Et ceux qui viendront me dire que c’est ça vieillir, je les attends !
Merci de dire également que l’on peut se régaler en changeant d’alimentation.
C’est vrai ; je suis très difficile pour mes goûts alimentaires, j’aime manger et je n’ai aucun plaisir avec de la mauvaise cuisine.
Quant à se noyer dans la masse, de grâce Isabelle, ne le faîtes plus.
La masse a toujours tort, elle vous mènera toujours plus bas.
Par désir que vous lui ressembliez, c’est ça le problème de la masse.
Sinon vous la mettez en mauvaise posture.
Elle sait bien qu’elle a tort en réalité.
Préparez-vous, vous avez encore deux mois avant la dure épreuve des fêtes !
Trouvez vos propres recettes et venez avec aux repas de famille ou autres.
Voyez ce que j’ai dit à Capucine pour les écarts.
Bravo encore, sincèrement.
Marie.
Bonjour Marie,
Merci pour ce rappel qui tombe à point nommé.
Je succombe moins souvent qu’avant aux virus qui trainent, à force d’intégrer, année après années, des bonnes habitudes au fur et à mesure des lectures de ton blog et formation ; mais ce n’est pas gagné 🙂
Depuis cet été j’ai réussi à arrêter les produits laitiers qui, je sentais, m’épuisaient (j’aimais le fromage surtout).
Ce qui ne m’a pas empêché d’avoir un état grippal récemment.
Cela m’a servi de déclic pour réappliquer plus de tes connaissances à commencer par un jeune (forcé) de 24h, par contre avec une reprise en douceur (bouillon, légume vapeur).
Pour ensuite réinstaurer des habitudes pour respirer, bouger/marcher, dormir régulièrement, bien mâcher.
J’ai ressenti un énorme mieux être, mais une fatigue persistait.
Hé oui, mes repas quotidiens laissent en encore la part belle aux pains et pâtes.
Ce sera ma prochaine attention, d’ailleurs je suis preneur de tes suggestions.
Je fais écho à un commentaire précédent, j’avoue que « c’est difficile en société ». En repas de fête occasionnel je fais moins attention, mais en retrouvant les collègues après les confinements j’ai moins de latitude pour appliquer ces conseils aux repas quotidiens.
Je suis toujours ravi de te lire.
Prends soin de toi,
Manu
Bonsoir Marie, je ressens ce besoin de me sevrer du gluten car quand j’en mange à part ce petit plaisir très fugace de l’instant où il est dans notre bouche il existe ces bien longs moments où différents symptômes se font ensuite ressentir: ballonnements, constipations,céphalées, fatigue….
Mais mon intérêt principal concerne mon fils autiste, avec lui je ne sais vraiment pas comment faire pour qu’il arrête d’en manger, il n’est pas dans la raison comme moi et l’en empêcher en lui interdisant est très difficile techniquement j’avoue.
Pour cela j’aimerais bien avoir vos tuyaux!
Merci beaucoup Marie.
Christine
Bonjour Marie,
merci encore pour cet éclairage et ce travail que vous accomplissez. Voilà quelques années que je lis vos articles avec attention. J’ai fait grâce à vous mon chemin vers un régime sans produits laitiers. J’étais vraiment une grande consommatrice de fromage mais aussi habituée des angines, autres infections et douleurs articulaires. En constatant l’impact de ce changement, je me suis graduellement libérée de cette dépendance. Le seul écart que je me permets très rarement est la consommation de fromage de chèvre.
Pour le gluten en revanche c’est autre chose, l’addiction est plus ancrée. Je serais donc intéressée par votre méthode pour s’en affranchir.
Merci d’avance et belle journée à vous.
Bonjour Marie
Pour repondre a tes questions
Pour arreter le gluten , j’ai arrete du jour au lendemain grace a tes articles et ton programme ASI qui m’ont reellement fait prendre conscience du probleme du gluten(meme chose avec le lait)
J’ai du craquer 5-6 fois tout depend de l’etat psychologique , mais quand j’en remange , c’est pas une explosion en bouche non plus donc je me dis que je peux m’en passer
Comme quoi c’est la flore intestinale qui dirige nos envies comme tu dis si bien
Je recherche de nouvelles saveurs et je me dis qu’a presque 50 ans , si je change pas mon alimentation maintenant , je ne le ferai jamais .
Bonne journée Marie
A bientot
Bonsoir Frédéric,
Je suis ravie si le programme ASI a contribué à ce que vous vous détachiez du gluten.
Mais il n’y a pas obligation à se passer de petit-déjeûner dans ASI.
Je suppose que vous mangiez surtout du pain le matin, c’est ça ?
La fatigue chronique par contre peut éventuellement être aggravée par l’absence de petit-déjeûner.
Cela peut fatiguer les glandes surrénales. Sachez-le.
Même si cela concerne plus fréquemment les femmes.
Supprimer le gluten a bloqué le processus de destruction des tissus par les anticorps au gluten.
Donc même si vous ne percevez rien de spectaculaire depuis, vos organes (ceux qui étaient les plus faibles chez vous) ne se détruisent plus en silence de jour en jour.
Et vous ne nourrissez plus la mauvaise flore, au moins avec le gluten.
Un gain énorme au niveau inflammatoire.
La société, oui, nous devons y faire face !
Je connais bien ce sentiment de devoir se justifier alors que nous avons face à nous des gens qui ne savent pas, qui ne veulent pas savoir.
Comme j’ai dit à Brigitte et à Isabelle, notre corps nous appartient et le nourrir est vital pour lui.
Donc reprenons la liberté de faire ce qui nous paraît juste.
Dans la pratique je sais…pour avoir la paix que ne ferions-nous pas.
Mais vous pouvez au moins utiliser comme arguments les réactions violentes de votre corps, qui ne sont tout de même pas des fantasmagories.
Le jour où vous serez malade personne ne le sera à votre place.
Au fait c’est très juste ce que vous dîtes, lorsque l’on est intoxiqué par la nourriture notre corps ne réagit plus.
Et c’est là que les gens disent qu’eux ils digèrent bien, qu’ils peuvent manger de tout etc.
On connaît cette chanson, mais RV dans quelques années, le type de maladies qui s’abat sur eux en général est toujours le même malheureusement.
Le fromage…c’est une addiction bien plus ancrée que celle du gluten.
Nous avons tous bu du lait très tôt dans notre vie, le lien est installé en nous.
Je comprends que vous ne songiez même pas à vous en libérer.
Pourtant, il existe une réaction croisée entre anti-corps au gluten et anticorps au lait.
Eh oui, pour notre « malheur » certains acides aminés de la protéine de gluten sont identiques à certains acides aminés de la protéine du lait (caséine).
Ce qui signifie que les anticorps au lait peuvent très bien attaquer les tissus qu’attaquent aussi les anticorps au gluten et inversement.
Pour eux il n’y a pas de différence.
Ce qui veut dire que nous devrions les supprimer tous les deux.
Sinon cela n’a plus de vrai sens.
Malgré tout vous semblez en forme, nous ne sommes pas nombreux à ne jamais voir de médecin. C’est bon signe.
Et puis votre projet de potager ne peut qu’aller dans le sens de la santé.
Vive la grelinette !
Merci de ce beau témoignage (et de m’autoriser à le partager éventuellement).
A une autre fois j’espère.
Marie.
Bonsoir Manu,
Tu as faibli, je sens…!
L’essentiel c’est d’avoir conscience de ce qui devrait être amélioré.
Réussir à ne plus manger de fromages est déjà un exploit en soi.
Sentir qu’ils étaient source de fatigue prouve que tu te connais bien.
Mais il faut du temps pour que le corps se remette des dégâts.
Si tu as lu la réponse que je viens de faire à Frédéric, tu vois comme il serait bien utile de te libérer aussi du gluten.
Mais naturellement pas avec un effort de volonté, mais par simple rejet du corps qui n’en veut plus.
Cela m’est arrivé, pourquoi pas à d’autres ?
Les repas entre amis nous mettent en position délicate je sais.
Il faut en arriver à ne plus aimer en manger, comme on n’aime pas tel ou tel autre aliment.
Moi je déteste la viande cuite par exemple, l’avaler m’est impossible et depuis toujours.
On le sait autour de moi, eh bien pour le gluten c’est pareil.
Mais c’est facile maintenant parce que je ne l’aime plus.
Si on l’aime encore c’est presque impossible bien sûr. Je sais.
Quand tu auras reçu le texte de mes suggestions, reviens nous dire ce que tu en penses.
Merci Manu.
A bientôt.
Marie.
Bonsoir Christine,
Je pensais à vous bien sûr en écrivant cet article.
Si vous souffrez après avoir mangé du gluten cela rend sa suppression moins compliquée peut-être.
Mais votre fils, lui, souffre-t-il des effets du gluten ?
Non, la raison, la volonté ne peuvent rien dans son cas.
Pour nous adultes la raison ne nous aide pas toujours, non plus.
Mais je ne me suis pas servie de ma volonté pour me détacher du gluten.
Au début, oui, mais sans résultats à long terme, évidemment.
Comme pour à peu près tout le monde ça n’a pas marché.
Il faut que ce soit le corps lui-même qui ne le désire plus.
Parce que c’est lui qui mène la danse, même si c’est la tête qui nous dit que manger du pain ou une pâtisserie nous ferait plaisir.
C’est réconfortant de manger quelque chose de bon, nous savons bien.
Et j’en suis là depuis longtemps maintenant, voir du pain ou tout autre produit contenant du gluten, ne provoque aucune envie.
Il m’est même arrivé de me forcer à avaler une bouchée du pain que j’aimais tant, et de trouver l’expérience très désagréable.
J’avais voulu vérifier où en était mon addiction !
Vous essaierez avec votre fils, même si vous ne parvenez pas à la suppression complète, je pense vraiment qu’il peut l’oublier progressivement.
Et ce sera déjà une très bonne chose pour sa santé.
Je vous le souhaite Christine.
A bientôt.
Marie.
Bonsoir Anne-Laure,
Vos symptômes étaient typiquement ceux de l’intolérance au lait en effet.
Mais cependant c’est admirable d’avoir pu vous en libérer.
Souvent la dépendance est telle que les gens acceptent de souffrir en échange du plaisir.
Votre mur à vous c’est le gluten, mais vous devriez être aidée par mes conseils.
Ils seront transcrits dans un PDF que j’enverrai avec la prochaine lettre d’information.
La seule condition pour réussir c’est la patience.
Sinon c’est le corps qui fait le travail.
Parce que la volonté, j’ai vu que je ne pouvais pas franchement compter sur elle !
Bonne soirée.
Marie.
Bonsoir Cédric,
Pour arreter le gluten , j’ai arrete du jour au lendemain
Voilà qui me fait rêver, et doit en faire rêver d’autres !
Tant mieux pour toi si mon travail a eu ce pouvoir.
D’autant plus que cela a été vrai aussi pour le lait.
Tu as tout compris, c’est la flore qui dirige nos envies.
Notre pauvre tête se fait mener par le bout du nez.
Et ma « méthode » est fondée sur ce principe.
Enfin je l’ai découverte au jour le jour, je n’avais pas calculé en fait.
Mais l’essentiel est là, je ne risque plus d’avoir envie de ce pain complet dont je raffolais.
De nouvelles saveurs oui, ce n’est pas simple mais le monde des légumes, des fruits, des céréales, est vaste, on doit pouvoir trouver !
Alors bonne transition, déjà très entamée. Et tu as bien raison.
Pour toi les escaliers ce sera quatre à quatre !
A bientôt.
Marie.
Chère Marie,
Lire vos publications est toujours pour moi un immense plaisir ! Merci de continuer à nous éclairer. Et tant mieux si ça peut aider certains à sortir de la croyance : « Du bon pain et un peu de beurre et de confiture, ça n’a jamais tué personne pas vrai ? »
A ceux qui me plaignent parfois, arguant qu’une vie sans pain ni pâtes ni pizza, sans pâtisserie ni camembert cela doit être pénible au quotidien, je réponds que vivre en pleine forme à 58 ans après 40 ans de maladie (la liste est longue), et bien non vraiment cela n’a rien de pénible ^^
Bien à vous.
Eric
Bonsoir Eric,
« Du bon pain et un peu de beurre et de confiture, ça n’a jamais tué personne pas vrai ? »
C’est tellement vrai, tellement courant.
Comme disait Mark Twain (à peu près) : « Lorsque vous êtes d’accord avec la majorité, commencez à vous poser des questions ».
Le problème de départ c’est la conviction, bien arrangeante, que souffrir de telle ou telle maladie c’est obligatoire à partir d’un certain âge.
Prendre des médicaments c’est tout aussi inévitable.
Nous n’y pouvons rien, alors « profitons » !
Alors que profiter de la vie c’est justement la respecter en nous, pas la tuer à petit feu.
Pas être esclave de nos croyances et de nos faiblesses.
Ravie que vous fassiez partie du second groupe !
D’autant que vous savez de quoi vous parlez.
Je vous souhaite de poursuivre ce chemin de vraie liberté et de vrai bien-être.
Grand merci pour votre message plein de vie.
Marie.
Bonjour Marie,
Cela me fait penser à un proche de 66 ans qui souffre de problèmes de motricité, a des difficultés à articuler, il est tombé dans les escaliers et s’est cassé la hanche à cause de cela … Apres examen du cerveau on ne lui trouve aucune lésions, ils ne savent pas ce qu’il a mais on lui soupçonne une maladie dégénérative type Parkinson, ce dont il doute. Son bras gauche est difficile à contrôler et manipuler, comme semi paralysé. On lui a aussi trouvé que les os de la colonne vertébrale son éffrités. Il y a 3 ans je lai coaché pour qu’il arrête gluten et produits laitiers qu’il mangeait de qualité industrielle presque tout les jours. Il n’en remange plus depuis sauf quelques exceptions une fois par mois maximum. Je me demande en vous lisant si ses problèmes ne pourraient pas être lié à sa consommation de gluten et produits laitiers même s’il a arrêté car il en avait mangé pendant longtemps ? Et si c’est réversible car la science officielle ne propose pas de solution a part la kinésiothérapie… Il fait dire qu’il a fumé et bu pendant 30 ans aussi mais arrêté il y a 6 ans, ca peut impacter à long terme !? Sachant qu’il est tombé du haut des escaliers sur la tête quelques mois avant que ses problèmes ne commencent et qu’il a beaucoup saigné et perdu connaissance, je ne sais pas si ca peut être une cause …
Personnellement, jai arrêté aussi le gluten totalement et produits laitiers il y a 3 ans et demi et n’en ai jamais remangé à part une fois ou deux du gluten lors d’invitation. Mais il y a un an j’ai entendu dire par une personne prônant l’alimentation type végétale que le gluten était pas si nocif (comparé aux pesticides) et que c’etait de l’effet nocebo qui causaient certains problèmes parce qu’on pense que ca peut nuire, que si on en mangeait avec un etat d’esprit positif ca ne nuisait pas (le pouvoir de l’esprit). Sachant que l’homéopathie est basée aussi sur de l’effet placebo, je me suis dit peut être elle a raison apres tout. Alors jai décidé de tester sur moi. Jai mangé des pâtes d’épeautre non complète et je nai rien ressenti. Puis jai testé avec des pâtes d’épeautre complète et là je nai pas pu les digérer et jai eu les douleurs de ma vie, presque une torture. Je ne sais pas s’il y a plus de gluten dans le son de la graine mais plus j’en mangeais moins je pouvais m’arrêter malgré la douleur Ca faisait longtemps que je n’avais pas mangé de gluten comme ca. Alors jai paniqué et ai arrêté net après cette expérience, le souvenir des douleurs m’a tellement traumatisé que je suis totalement sevrée. Pour moi c’est plus jamais de gluten et même pas d’exeptions sur invitation désormais. J’ai conclu que l’etat d’esprit peut grandement atténuer le mal mais ce qui est nocif par essence est toujours mieux d’éviter car ce n’est jamais anodin.
Voila pour mon expérience.
Olivia
Bonsoir Olivia,
Je me demande en vous lisant si ses problèmes ne pourraient pas être lié à sa consommation de gluten et produits laitiers même s’il a arrêté car il en avait mangé pendant longtemps ?
Oui cela me semble assez évident.
Cela le touche un peu jeune mais il a mis du coeur à détruire sa santé, non ? Inflammation maximale etc.
Et si c’est réversible car la science officielle ne propose pas de solution a part la kinésiothérapie…
Vous confondez avec kinésithérapie (et kinésiologie) ?
En tous cas cela n’agit que sur les symptômes, il faut agir sur les causes, éliminer toute forme d’inflammation dans le corps.
On ne répare pas les dégâts en peu de temps quand ils se sont produits durant toute un vie.
De plus comme j’ai souvent expliqué, et répété dans le commentaire à Capucine, supprimer la cause ne supprime pas les dégâts, cela stoppe seulement leur progression.
Ce qui est logique.
Relisez l’article que j’ai indiqué à Capucine entre autres.
C’est avant 40 ans que se joue la santé future, qu’on le veuille ou non.
Les dégâts sont longs à diminuer.
Mais il y a un an j’ai entendu dire par une personne prônant l’alimentation type végétale que le gluten était pas si nocif (comparé aux pesticides) et que c’etait de l’effet nocebo qui causaient certains problèmes parce qu’on pense que ca peut nuire, que si on en mangeait avec un etat d’esprit positif ca ne nuisait pas (le pouvoir de l’esprit)
Soyons un peu sérieux, un peu cohérent et moins ignorant.
Que de pauvres gens qui croient savoir et ne comprennent rien, aux dépens de la santé des autres !
Ce genre de propos vient de personnes qui n’ont jamais lu une quelconque étude scientifique digne de ce nom, mais qui projettent des idées à la mode parce que simplistes, des idées pour attirer facilement les gogos.
Des gens qui ne savent rien de ce qui se passe quand on mange du gluten, par exemple.
Pourquoi des enfants sont-ils gravement malades à cause du gluten sans qu’on ne leur ait jamais parlé de son danger ?
Idem pour la majorité des gens, qui n’y croient pas de toute manière, justement !
Un peu de bon sens serait utile, à défaut de connaissances de la part de ces personnes qui se font tout de même payer pour clamer de telles âneries.
En plus il s’agit de ce que nous ressentons ou de ce qui se passe intérieurement ?
Parce que très peu de gens ressentent quoi que ce soit.
Pour en finir avec ces niaiseries tristement tendance il faut comprendre que l’esprit agit à partir d’un niveau de conscience qui se situe au-delà du mental.
Donc au-delà des mots ; alors vous pouvez bien dire ce que vous voulez, ce n’est pas ainsi que nous agissons sur la matière, ce sont des stupidités pour gogos, je répète.
Ce niveau bas de gamme du développement personnel (il en existe de plus digne) est à la santé de l’esprit ce que le fast-food est à la gastronomie, une dangereuse contrefaçon.
Votre expérience avec l’épeautre ne prouve qu’une chose : les céréales complètes sont bien plus agressives pour la muqueuse que les raffinées !
On parle là de sensation car en réalité il y a aussi inflammation.
Moi quand je dois manger du riz je le prends blanc, jamais complet.
Pourvu que le souvenir de cette douleur si violente persiste, chez certaines personnes cela ne suffit pas longtemps malheureusement !
Bonne soirée.
Marie.
Bonjour Marie,
C’est toujours une grande joie quand je découvre dans ma boite de réception un « message de Marie » … sourire.
Donc, encore et toujours merci de partager avec nous vos lectures, réflexions, connaissances et retours d’expérience. Je viens de lire les commentaires in extenso et c’est un euphémisme de dire que vous avez, une fois de plus, abordé un sujet majeur pour nous tous.
Je vais essayer de résumer rapidement mon « parcours anti gluten » (si cela peut aider certains à se convaincre qu’il s’agit réellement de la mère des batailles avec le sucre – en ce qui me concerne).
J’ai commencé à prendre conscience de ce fléau en 2014. Je mangeais, à l’époque, en moyenne 5 pains de 800g par semaine (pain au levain, farine bio, pétrissage lent, etc.
Oui j’ai bon appétit et je prends plaisir à manger. Je mangeais 3 fois par semaine minimum des pâtes, lasagnes, tortellinis, pizzas, tourtes et quiches aux légumes (toujours faits maison).
Ce n’est pas tout, des tartes aux fruits, cakes, crêpes, gaufres (galettes comme on dit en Belgique). Et je ne parle pas des tiramisus, crèmes brûlées, etc. Tout cela, toujours entièrement fait maison!
Je mange « bio » depuis quasiment toujours car mes parents le faisaient déjà dans les années 70.
Je ne détaillerai pas davantage mes petits déjeuners copieux (comme mentionné avant car il s’agit, soit disant, du « plus important repas de la journée » !) et que je suggérais à mes enfants !!!
Donc j’ai pris conscience de tout cela, non pas car je me sentais fatigué, malade, en léger surpoids ou gêné par une quelconque douleur ! Non, j’ai toujours été en « excellente santé » (enfin je le croyais car je n’ai jamais fréquenté les médecins, les pharmacies ou les hôpitaux).
Non, j’étais juste légèrement en surpoids selon l’indice IMC.
La prise de conscience et le changement se sont imposés en essayant de trouver une solution alternative aux douleurs et aux diagnostics inquiétants et irréversibles (s’agissant de maladies auto immunes) que les médecins avaient annoncé à mon fils aîné adulte. Il était réellement en danger et quasi littéralement « condamné » à subir ce fléau toute sa vie.
J’ai donc voulu, avant de lui en parler, tester sur ma personne, les effets d’un changement radical de comportement alimentaire (gluten et produits laitiers pour commencer). Je voulais comprendre, après tout ce que j’avais lu, ici ou là et notamment dans ce blog, si l’Alimentation avec un grand A, pouvait influencer, inverser et rétablir un niveau de santé qu’un jeune homme d’une vingtaine d’années était en droit d’attendre et de vivre.
J’ai donc commencé par supprimer (du jour au lendemain) le pain, les pâtes, le lait, le fromage, les yaourts, ainsi que les desserts. J’ai oublié de dire que je suis un grand consommateur de chocolat (en moyenne 50 à 100g par jour). Je passe les détails car cela serait trop long et fastidieux.
Les effets ont été spectaculaires (et je les ai déjà mentionnés, il y a quelques années dans un message sur ce blog).
La première chose, en ce qui me concerne, fut la perte de poids (-14kg le premier mois),
la deuxième fut, l’absence et la disparition totale de mes migraines.
J’avais des migraines très violentes et très fréquentes que j’attribuais aux aléas professionnels !
La troisième constatation fut la disparition de mes écoulements nasaux (nez très souvent bouché quasi en permanence),
la quatrième, furent mes nuits vraiment réparatrices,
le cinquième constat fut l’énergie ressentie tout au long de mes journées, dans le sens que je ne me sentais plus jamais fatigué, etc.
Je vais m’arrêter ici car il y a encore tellement à lister.
Alors Marie, oui je me réjouis déjà de lire votre « méthode » car depuis 2014, effectivement je ne mange plus de gluten en général, ni de produits laitiers en particulier. Mais, il m’arrive (hélas) de « craquer » encore, 5 à 6 fois par an pour un morceau de tarte ou une portion de fromage au lait cru.
Pour compléter le bilan, j’ai perdu au total 21 kg (mon poids est stable depuis des années, pour info, je fais 63 kg pour 1m75 et j’ai 59 ans). Tout ceci sans jamais chercher à faire régime (je n’ai jamais fait aucun régime dans ma vie) ni à manger moins.
Bien entendu, je mange « ASI » quasi exclusivement et je prends toujours du plaisir chaque jour, à cuisiner « mes aliments » mais je reste encore et toujours fragile aux tentations même après 8 années. Je marche, je pédale, je respire et je médite presque chaque jour.
Le stress a quasi disparu de mon quotidien.
Encore une fois, ce serait trop long d’étaler tout ce cheminement que je conseille absolument mais cela requiert de la motivation (mais pas seulement … car dans mon cas, c’est un changement « holistique »). Bref, c’est possible et réaliste. En revanche, je pense, avec un certain recul, que démarrer de manière drastique et brutale comme je l’ai fait, fut un réel défi que je ne recommande pas forcément. C’est aussi un choc pour le corps et l’esprit. Mais d’autres raisons impérieuses me guidaient comme je l’ai expliqué. A chacun d’être conscient, « éveillé », pas trop dur avec soi et d’adopter une méthode et un rythme qui lui est propre (en attendant d’essayer – et je suis de ceux-là – les conseils que Marie nous proposera de suivre :). A chaque jour suffit sa peine.
J’estime, après 8 années, avoir évidemment progressé mais ce fut extrêmement rude et c’est encore délicat à tenir lors de certaines réunions et/ou relations sociales. La famille, les amis et connaissances diverses ainsi la « pression sociale » peuvent parfois constituer un « frein psychologique et émotionnel » redoutable. En ce qui me concerne, je sais et j’ai toujours reconnu que, « l’obstacle majeur » à ma progression … ce fut et c’est toujours moi et uniquement moi ! Essayons parfois d’être indulgent avec nous-mêmes (quoique …).
J’espère, néanmoins, que mon témoignage pourra éventuellement susciter des « vocations » … sourire. Pour ce qui regarde mon fils aîné, la situation est réellement fantastique et extrêmement positive (ce sont des maladies normalement irréversibles mais chez lui, aussi incroyable que cela puisse paraître, les manifestations et autres ravages ont disparu. Tout est revenu comme avant la manifestation de sa maladie … non, c’est même beaucoup mieux. L’énergie ressentie (comme pour moi) est vraiment le maître atout. Il est évidemment devenu « ASI addict » et il respecte rigoureusement et strictement tous les « paramètres » car dans son cas (un peu extrême), tout relâchement (même minime) peut se payer « cash » et il sait pertinemment bien.
En réalité, je dirais que c’est pareil pour chacun d’entre nous mais les manifestations ne sont pas toujours aussi apparentes.
Marie, je vous remercie encore et encore car vous êtes, dans mon cas personnel, à la base de toutes « nos transformations».
Je vous en serai toujours infiniment reconnaissant.
Au plaisir de vous lire.
Renzo.
Bonsoir Renzo,
Un bien beau cadeau que vous avez laissé là pour qui le lira, et pour moi.
J’en suis heureuse et impressionnée.
Le témoignage d’une expérience complète : la prise de conscience, la décision et la détermination à se maintenir dans les rails malgré les obstacles.
Et pour quels résultats !
Ce qui prouve une réelle ouverture d’esprit et un niveau de conscience peu ordinaire.
La méditation a dû vous aider, elle permet d’être plus conscient.
Ce parcours me rend très heureuse pour votre fils surtout, pour vous également bien sûr.
Je suis fière de vous !
Votre fils est lui aussi admirable d’avoir eu le courage d’abandonner des habitudes alimentaires bien sympathiques ( à une certaine époque j’aurais apprécié être invitée à votre table…) et de garder scrupuleusement les nouvelles.
Que ceux qui abandonnent, qui disent que ce n’est pas pour eux, que cela ne « marche » pas, en prennent de la graine.
On choisit ou pas de se prendre en charge et c’est un engagement pour toujours.
Pas un « truc » nouveau que l’on essaie.
Comme vous le dîtes si justement, l’obstacle c’est toujours nous.
ASI ne peut que fonctionner, avec seulement des différences liées à l’état de santé de départ de chacun.
Il faut plus de temps et de patience dans certains cas. Celui de votre fils n’avait pourtant rien de simple, je me souviens très bien.
Les principes ASI sont fondés sur des faits, ce ne sont pas des constructions de l’esprit.
Des observations réalisées par des médecins du monde entier il y a déjà environ 20 ans.
Partout dans le monde, la même constatation, les patients en bonne santé présentent une proportion minimale de bactéries bénéfiques.
Alors que les patients malades, quelles que soient les maladies, présentent tous au contraire une proportion inférieure à ce minimum.
Ces chiffres concernent tout le monde, il n’y a pas lieu de dire que cela ne « marche » pas pour tout le monde.
Ironie de l’histoire, c’est en Suisse, à Sion, que pour la première fois en 1992 on m’a parlé des dangers du gluten.
A l’époque je vivais près de la Suisse et un de mes plaisirs était d’aller découvrir les trésors que recèlent les magasins que nous nommons en France magasins Bio, vos drogueries si je ne me trompe.
Il y en avait très peu en France et je faisais de vraies razzias, notamment de yaourts !
J’avais demandé du pain et la jeune employée m’avait répondu, l’air presque offusqué, que dans son magasin on n’en vendrait plus.
Devant mon air ébahi elle m’avait expliqué en quoi le gluten nuisait à la santé.
J’ai su plus tard au fil de mes recherches que c’est en 1992 que les premières études cliniques en Angleterre dans des hôpitaux ont mis en évidence le lien entre la santé des enfants et le gluten.
J’ai souvent pensé à cette jeune femme depuis.
J’espère que les lectrices et lecteurs constateront les effets sur votre santé, migraines, sommeil, poids naturellement, stress et énergie.
Tant de gens bataillent avec ces symptômes si fréquents.
Je suis frappée par l’harmonie, l’équilibre qui transparaissent de ce récit et de votre existence.
Une inspiration pour d’autres ?
Vous dîtes aussi justement que peut-être il n’est pas nécessaire, ou possible pour tous, d’éradiquer le gluten du jour au lendemain.
C’est vrai.
Je devine la dose de détermination dont vous avez fait preuve.
Et cela me fait plaisir d’avoir pu contribuer à modifier à ce point la qualité de vie de votre fils, tout comme la vôtre.
Merci Renzo d’avoir pris le temps de laisser ce témoignage si précis et si parlant.
Marie.
Bonjour Marie,
Très sensible au fait que l’alimentation pourrait soigner les maladies chroniques au quotidien, j’ai été bouleversée par votre article sur les effets du gluten et des produits laitiers sur le cerveau.
J’avais déjà commencé, il y a 10 ans, à les supprimer, suite à des problèmes ORL, insolubles avec les médicaments, et sur les conseils d’un ami (lui-même avait eu, pendant un temps, de fortes sensations d’étouffements et avait consulté un médecin chinois qui lui avait donné ces précieux conseils).
Depuis, j’ai bien diminué ma consommation de ces 2 poisons, mais c’est difficile de les supprimer totalement sur le long terme. C’est lourd à gérer et pourtant c’est nécessaire selon vous et les chercheurs qui ont fait ces constats.
A la fin de votre article, vous proposez une méthode sans douleur ni frustration pour se libérer du gluten, que vous avez inventée vous-même, j’aimerais la découvrir.
J’aime beaucoup vous lire, j’avais commandé votre programme ASI, que je mets en pratique le plus possible.
A très bientôt et encore Merci pour tout ce que vous faites.
Marie-Françoise
Bonsoir Marie-Françoise,
Ce n’est pas moi ou quelques chercheurs qui dénonçons les effets du gluten.
Il y a des années maintenant que les études cliniques en hôpital, et bien sûr des études scientifiques, ont prouvé le lien avec les maladies auto-immunes entre autres.
Mais les adultes sont comme les enfants, qui préfèrent la grand-mère qui les laisse vider le paquet de bonbons à maman qui dit non.
La plupart des adultes n’ont pas vraiment grandi.
Je vous encourage à poursuivre sur la voie de la suppression du gluten.
Avant d’envoyer mon PDF explicatif j’ai attendu que d’autres personnes me le demandent, par mail ou ici.
Parce qu’il ne s’agit pas pour moi de distribuer une sorte de tract que l’on regardera si on a le temps.
Il faut une démarche volontaire, une prise de conscience et une volonté à la suite de cette prise de conscience.
Donc qui serait intéressé devrait venir ici ou par mail me le demander.
Mail : mariekelenn[arobase]gmx.fr
Merci Marie-Françoise d’avoir pris la peine de laisser ce commentaire, j’apprécie.
Revenez !
Marie.
Bonjour Marie
Bravo pour votre courage de faire vivre votre site pour nous informer, cela doit vous prendre beaucoup de temps et cela pour aider les personnes. Avec toute ma reconnaissance. 😉
J’aimerais bien connaître votre méthode pour ne plus consommer de gluten.
Je vous souhaite une très belle journée.
Coeurdialement,
José
Bonjour Marie,
Je souhaiterais connaître votre méthode pour ne plus consommer de gluten car est pas facile du tout…. en vous remerciant.
Céline
Bonjour Marie,
Bien sûr que je suis intéressée par votre PDF pour se libérer du gluten, même si je n’en mange plus depuis 3 ans . J’ai fait des bêtises au départ en mangeant du pain des fleurs ( ça m’arrive encore mais exceptionnellement et le pur sarrasin ). J’ai testé les pains sans gluten aussi, mais pas longtemps car ils ne « passaient » pas. Il m’arrive encore de manger des pâtes au sarrasin ainsi que des galettes de sarrasin ( mais ça reste de la farine ) et des flocons )-: , mais j’essaie autant que possible d’éviter tous ces produits transformés grâce à vos judicieux conseils.
Je crois que le plus difficile pour moi, ce n’est pas le gluten mais c’est de ne pas craquer devant une tomme de brebis ou un joli petit fromage de chèvre !!! S’ils sont devant moi avec leur air malicieux et provocateur , je ne résiste pas !!! D’autant plus qu’ayant un poids très bas, j’ai besoin de calories concentrées et je me dédouane en me disant que j’arriverai peut être à prendre un gramme ou deux avec ces jolis fromages. Bien sûr ça ne marche pas ! Et je le paye avec des douleurs dans mes mains arthrosiques…..
Encore un grand merci à vous pour le travail colossal que vous faîtes pour que nous nous sentions mieux dans notre corps, notre tête et notre vie tout simplement.
Je vous souhaite une belle fin d’année à l’abri des tourments actuels et je continue à vous suivre activement car vous êtes et resterez notre bouée de sauvetage et de prise de conscience à tous !
Amicalement
Bonjour Marie
Encore un super article
C’est vrai qu’il est dur d’eviter Le gluten
C’est avec plaisir que je souhaite recevoir le pdf et pouvoir mettre en application
Avec tous mes remerciements
Mona
Bonjour,
Merci de m’abonné a votre autre site internet
Bonjour Marie,
Je fus très malade à cause du Gluten, coliques permanentes, douleurs intestinales intenses, boutons type psoriasis ou autres,douleurs articulaires… j’avais compté 7 maladies en même temps. Elles ont disparues ou ont largement diminuées, en une semaine à l’âge de 50 ans, avec l’arrêt total du gluten au moins pendant 5 ans. Aujourd’hui à 64 ans, j’en parait soit disant 20 de moins, j’en mange un peu, très peu, et je ne suis plus malade. Cette purge fut salvatrice pour moi, mais je ne sais si je fais bien d’en manger un peu. Pour le lait, je ne mange que du fromage au lait cru, et je me porte bien. Qu’en pensez vous?
Bonjour Marie,
Je serais ravie de recevoir votre PDF. Je mange du pain occasionnellement, comme les produits laitiers, mais je sais que je devrais arrêter. J’y arrive de temps en temps (quand je vous lis) mais je rechute (je mange du yoghurt de coco et de brebis). J’ai des gros problèmes de constipation chronique, je suppose que cela ne pourrait que m’aider.
Merci !
Bonjour Marie,
J’aimerais recevoir votre méthode pour arrêter le gluten et les produits laitiers, je sais que ce sera très difficile mais je dois y arriver.
Vous lire donne de l’espoir et l’envie d’essayer. Merci pour tout cela.
A vous lire.
Raymonde Ledent
Bonjour Marie,
J’espère que tout va bien pour vous.
J’ai bien vu que votre présent article a suscité de longs commentaires.
Pour bannir le gluten, c’est assez facile pour moi.
Mais le fromage que je choisis toujours à pâte dure et au lait de brebis cru, je n’arrive pas à m’en passer et j’en suis très très malheureuse parce que je suis consciente que ce n’est pas bon pour ma santé
Aidez moi, comment avoir suffisamment de calcium chaque jour à la place du fromage, sachant que je n’aime pas boire de l’eau minérale en général dont Contrex, Hépar ?
Merci beaucoup.
Au plaisir de lire vos conseils,
Amicalement.
Claura
Bonjour Marie,
Merci pour votre article très intéressant sur le gluten, je désire vraiment connaître votre méthode pour arriver à me défaire définitivement du gluten. J’essaie depuis plusieurs années mais j’accumule de nombreuses et douloureuses rechutes.
Merci de proposer un PDF afin de nous aider à se libérer de ce poison.
J’ai hâte de le recevoir.
Encore merci!
Bonjour Marie,
J’ai essayé à plusieurs reprises de ne plus consommer du gluten, mais c’était très difficile, voire impossible pour moi. Sans pain j’avais faim en permanence, et j’ai passé des journées entières à penser juste à la nourriture que je grignotais presque en permanence en continuant d’avoir faim.
Inutile de dire que je serais très intéressée par le pdf.
Je vous remercie pour votre travail que j’apprécie beaucoup.
Bonjour,
Je désire recevoir votre pdf svp. Merci.
Bonjour Marie,
Je suis très intéressée par votre méthode qui permet d’arrêter le gluten
J’ai suivi votre formation anti inflammation quand j’étais assidue, j’étais svelte et en pleine forme et dès que je retrouve la démotivation rien ne va plus
c’est pareil pour le gluten, quand j’arrive l’arrêter : tout va bien dès que j’y retourne… nez qui coule en permanence, fatigue…
Merci d’avance
Très belle soirée à vous
Fatima
bonjour
Je tente de vous contacter mais je ne parle pas l’anglais!
Je souhaiterais recevoir votre méthode pour me libérer définitivement du gluten
Est que je pourrai me libérer du fromage plus tard ?
Avec mes remerciements pour tous vos précieux conseils
Cordialement
Brigitte Gahier (brigitte.gahier@sfr.fr)
Bonjour Marie !
Merci de cet article simple et percutant, je suis très intéressé par la lecture du document que tu proposes, ayant fortement réduit un eczéma par le remplacement du lait animal par un lait végétal ( kéfir de lait végétarien )
Je me pose peu de question au sujet du gluten car soit j’évite le derneir repas de la journée, soit le petit déjeuner … ce qui me permet de réduire la prise de poids.
Existe t il des pâtes sans gluten ?
En cette fin d’année, je te présente ainsi qu’à ceux qui te sont chers et à tous tes lecteurs et lectrices mes meilleurs voeux !
Pierre
PS :
au cas mon mon courriel aurait pu s’égarer : pierreyaya@gmail.com
Bonsoir José,
Cela me fait du bien de vous lire.
J’accepte de grand coeur de donner mon temps en quantité et de me « casser la tête » pour être utile.
Raconter une expérience personnelle, c’est facile (je ne mange plus de gluten, bla, bla, bla) mais la transmettre de manière à ce qu’elle devienne utilisable pour d’autres, c’est une autre histoire ! Il faut du temps et des essais nombreux.
Je comprends bien que personne ici ne sache de quoi je parle, écrire, travailler ce qu’on écrit, le rendre compréhensible et applicable.
Alors j’accepte aussi que l’on me remercie avec gentillesse, qu’on respecte mon travail tout simplement.
Il semble facile de réclamer un travail donné gratuitement, mais moins facile de venir laisser ici un commentaire.
Ou prendre le temps de dire merci.
Vous me parlez de reconnaissance, je pense que c’est un bon début pour espérer améliorer sa santé, sa vie.
A mon avis un comportement de consommateur, fréquemment de profiteur, ne mène à rien.
Comment peut-on avoir un corps en harmonie si on est fondamentalement malhonnête dans sa tête ?
J’espère vraiment que mon travail vous sera utile.
N’hésitez pas à revenir en parler un jour.
Merci à vous.
Bon dimanche.
Marie.
Je viens de voir que cette réponse est très mal placée par rapport à votre commentaire. Merci de m’en excuser. La machine n’obéit pas, il va falloir que je trouve la solution.
Bonsoir Céline,
J’espère que le PDF vous rendra service.
Vous l’avez reçu ?
Bonne soirée.
Marie.
Bonsoir Pascale,
Le pain des fleurs n’est pas le pire que l’on puisse faire.
Même si cela n’agit pas sur l’addiction au gluten.
Mais quand on a le besoin de croquer dans quelque chose de solide c’est utile.
Le pain sans gluten ce n’est pas bon au goût et je renvoie à cet article :
https://nourriture-sante.com/farines-sans-gluten-et-alors/
Et également à celui-ci au sujet des biofilms, qui sont tout de même la cause de presque tous les ennuis de santé :
https://nourriture-sante.com/notre-systeme-immunitaire-et-les-bacteries-resistantes/
Comme je l’avais dit il y a quelque temps à un lecteur, merci de ne pas me tenter si traîtreusement en parlant de tomme de brebis ou de petit chèvre…
C’est facile et pour moi douloureux !!
Le poids n’a rien à voir avec des calories Pascale, ni dans un sens ni dans l’autre.
Mais avec l’assimilation au niveau de la muqueuse quand on est en sous-poids comme vous.
Et de composition du microbiome.
Certaines bactéries fabriquent les kilos !
Et il a à voir aussi avec un foie congestionné, pour tout le monde d’ailleurs.
Les en surpoids et les trop maigres.
Arthrose ? Plus de produit laitier du tout.
Leur calcium la crée.
Car il n’est presque pas assimilé en fait et va se loger dans les articulations.
Loin des tourments actuels, naturellement !
Au sens propre.
Je vous suis reconnaissante de mettre l’accent sur le fait que je cherche à créer une prise de conscience.
C’est vraiment là mon objectif, avec la conscience on peut tout, absolument tout.
Nous n’avons besoin que de ça.
Ensuite tout roule.
J’espère que ce PDF vous aidera pour le fromage aussi.
Mais n’oubliez pas que le lait animal contient des substances qui se comportent en nous comme des drogues.
Alors pas de culpabilité !
Belle fin d’année.
Amitiés de Marie.
Bonsoir Mona,
Pour éviter le gluten il faut déjà être convaincu de ses dangers, et ensuite désirer ne plus être esclave de cette addiction.
Car c’en est une véritable.
Et de partir vaillamment pour l’aventure !
Je termine mon texte en souhaitant « bon voyage »…
Vous me direz si le voyage est paisible.
Bonne soirée.
Marie.
Bonsoir,
J’ai traduit « site » par « votre texte au sujet du gluten ».
Je vous l’ai donc envoyé.
L’avez-vous reçu ?
Marie.
Bonsoir,
Vous semblez confondre symptômes et maladies.
Des symptômes ont disparu, c’est bien, mais pas les maladies quand ce sont, comme le psoriasis, des maladies auto-immunes.
Car elles ne disparaissent jamais.
Voyez cet article qui explique pourquoi :
https://nourriture-sante.com/maladie-auto-immune-evitee-stoppee/
La moindre molécule de gluten crée de l’inflammation donc des ennuis potentiels de santé un jour ou l’autre.
Les symptômes importants ont disparu, mais pas le processus inflammatoire et auto-immun.
Or l’auto-immunité peut se traduire de différentes manières, créer différentes maladies.
Sans parler du cerveau dont on ne se doute pas des dégâts avant qu’il ne soit souvent trop tard.
Pour ce qui est des produits laitiers c’est exactement pareil.
Au lait cru c’est mieux, bien sûr.
Mais ils avaient certainement une part bien aussi importante, sinon plus, dans votre psoriasis par exemple.
Et pour les douleurs articulaires ce sont eux essentiellement les responsables.
Il faut comprendre que les troubles demeurent à l’état potentiel, sous-jacents.
C’est inévitable.
Vous savez bien, on va bien jusqu’au jour où on va mal !
N’oubliez pas ce que j’ai dit récemment, je ne sais plus où, il existe une relation croisée entre lait et gluten.
Leurs anti-corps s’attaquent aux mêmes tissus car lait et gluten ont des portions d’acides aminés identiques (protéines).
Les anti-corps confondent donc protéines de gluten et protéines de lait.
Ce qui signifie que le lait fait les mêmes ravages que le gluten.
Et là non plus la quantité n’y fait rien.
On n’a pas de chance !
Marie.
Bonsoir Nathalie,
Le yaourt de coco n’a rien de bien dangereux.
Ils n’ont pas le plus souvent la qualité de vrais yaourts, c’est vrai, ils sont trop sucrés etc.
Mais pour remplacer le fromage cela peut aider.
La constipation est un symptôme à comprendre sérieusement.
Pas seulement dans ses conséquences, l’intoxication permanente si dangereuse, mais aussi dans ses causes, un microbiome très déséquilibré.
Avec tout ce que cela entraîne pour la santé générale.
Lisez mes articles au sujet de l’inflammation chronique, vous en souffrez obligatoirement.
Il ne faut pas laisser la constipation s’installer.
Vous avez reçu le PDF ?
Marie.
Bonsoir Raymonde,
Il est difficile de se libérer du blé c’est vrai car il contient comme le lait un composé addictif qui agit comme une drogue.
Donc nous sommes faibles face à lui.
C’est pour cette raison qu’il faut du temps, de la patience.
Une vie entière de dépendance addictive ne se dissout pas en deux semaines.
Il faut comprendre.
Mais cela ne veut pas dire de la souffrance. Vous verrez.
Lancez-vous et revenez me dire comment cela se passe.
Vous l’avez reçu ce PDF ?
Bonne soirée.
Marie.
Bonsoir Claura,
Il n’y a pas lieu d’être malheureuse de dépendre de ce fromage.
Lisez le PDF et commencez le voyage !
Pour ce qui est du calcium du lait relisez cet article :
https://nourriture-sante.com/de-bons-os-grace-aux-aliments-enrichis-en-calcium/
Et ce que j’ai répondu aussi à une précédente lectrice.
Même chose pour les eaux minéralisées, leurs minéraux nous encrassent car très peu assimilées de cette manière.
Par contre les légumes verts sont pleins de calcium très assimilable lui.
Donc pas d’inquiétude.
Bonne soirée.
Marie.
Bonsoir Carole,
Rechutes…comme vous ressemblez à nous tous !
Lisez ce que j’ai répondu précédemment, vous voyez que malheureusement nous sommes faibles face au blé !
Pas de quoi se culpabiliser.
Ce qui serait par contre pas très judicieux c’est de ne pas vouloir prendre conscience de ses dangers.
Là il y aurait responsabilité et manque de bon sens.
Mais à partir du moment où vous avez saisi le danger, mon PDF peut vous aider.
Il ne peut aider les autruches, évidemment.
Aiment-elles le pain d’ailleurs ?…!
Revenez nous en parler plus tard.
A une autre fois donc.
Marie.
Bonsoir Mihaela,
Vous savez la faim ce n’est pas le manque de pain mais les conséquences du pain.
A savoir une muqueuse intestinale qui est si poreuse qu’elle assimile moins de nutriments.
Vous manquez tout simplement de nutriments.
Et vous ne consommez pas de nourriture suffisamment riche en nutriments.
Le pain vous comble.
Il ne suffit pas de supprimer le pain, il faut aussi manger autrement.
Vous viendrez nous dire comment se déroule le voyage en pays sans gluten ?
Merci de votre passage.
Belle fin d’année.
Marie.
Bonsoir,
Et vous l’avez reçu ?
Marie.
Bonsoir Fatima,
Il ne s’agit pas de motivation, ça c’est l’explication psy bien pratique, répétée partout, mais totalement inopérante comme tout le monde le sait.
Tout le monde a la motivation d’être en bonne santé, svelte, beau etc.
Le problème n’est pas là.
C’est le ventre qui commande !
Le microbiome réclame ce à quoi il est accro depuis des décennies.
La tête n’y peut rien.
La fatigue est un symptôme typîque du gluten.
Mais on lui attribue des tas d’autres causes moins responsabilisantes : la vie, le stress etc.
Vous me direz comment se passe la mise en pratique du PDF ?
A bientôt.
Marie.
Bonsoir,
Me contacter en anglais ??
Des centaines de personnes y sont parvenues en Français, et d’ailleurs j’ai reçu beaucoup de merci en Français.
Marie.
Bonsoir Pierre,
Le PDF est parti !
Oui bien sûr il existe des pâtes sans gluten depuis longtemps.
Aux légumineuses par exemple.
Moi aussi je te souhaite une fin d’année légère et joyeuse.
Marie.
Bonsoir Marie,
Merci infiniment pour votre réponse très complète et au combien véridique !!!
Par solidarité avec vous (et mes vieux doigts tordus) , je vais essayer d’arrêter complètement fromages et laitages, même de brebis et bio…..pour une franc-comtoise d’origine et bourguignonne d’adoption, ce n’est pas facile.
Par contre il va falloir que je pique les croûtes de fromage dans l’assiette de mon voisin pour les mettre dans la mienne au prochain repas de famille car j’entends déjà ma mère dire » Quoi !!! tu ne manges déjà pas de pâtes, de pain, de sucre et maintenant tu ne veux plus de fromage !!! Mais comment veux-tu reprendre du poids ? »
Bref, les repas hors de chez soi deviennent problématiques pour ceux qui ne comprennent ou ne veulent pas comprendre notre but.
Et pour mon foie qui n’est certainement pas au mieux de sa forme, je vais essayer de diminuer le chocolat que je prends à 90% et cru mais qui reste du chocolat avec oxalates en plus. Le supprimer totalement sera difficile mais un petit morceau fondu lentement en bouche pour en retirer toutes les saveurs pourra peut-être contenter mon cerveau….et mon intestin !
J’en profite pour souhaiter à tout le monde une belle fin d’année, une excellente santé, de la volonté pour changer nos mauvaises habitudes et addictions de toutes sortes, grâce à notre super Marie, et beaucoup de courage pour résister à la pression des repas festifs à venir !
Encore un immense merci Marie pour votre générosité et le partage de vos connaissances qui n’ont pas de prix !
Amitiés
Pascale
Bonsoir Marie!
Merci beaucoup pour tout ce travail de recherche et ces connaissances que vous partagez ici.
Souvent j’entends dire que les variétés anciennes de blé causent moins (voire pas, selon les sources) de problèmes dus au gluten. Intuitivement et d’après ce que je lis ici, j’ai du mal à y croire… Et vous, qu’en pensez-vous ?
Je consomme peu de gluten, mais n’ai pas encore eu de déclic pour l’arrêter complètement. Au resto ou chez des amis, c’est quand même pratique de pouvoir en consommer!…
Pouvez-vous m’envoyer votre pdf de conseils pour arrêter le gluten ?
Merci d’avance!
Bonne soirée
Marie
Bonsoir Pascale,
Enfin un peu de soutien !!
Alors je ne vous titillerai pas trop avec la cancoillotte, cette invention diabolique…
Oui il faut apprendre à tromper l’ennemi, peut-être se mettre dans la poche le voisin ou la voisine de table.
On ne peut rien contre l’aveuglement délibéré, et entretenu par le commerce, les milieux médicaux etc.
Nous sommes pourtant maîtres de notre corps, diable !
Un petit truc qui pourrait être décisif dans certains cas, que j’ai appris par un médecin qui soigne les maladies liées au gluten en clinique.
Laissez fondre sous la langue, sans croquer surtout, un carré de chocolat, noir bien sûr.
Sous la langue se trouvent des points d’addiction reliés au cerveau.
Ainsi ces points d’addiction vont être saturés par le chocolat et l’addiction pour le chocolat va remplacer celle pour le gluten !
Ce sont visiblement deux addictions en concurrence pour les mêmes points.
A raison d’un carré par jour et pas plus ( pour éviter de créer une autre addiction) cela fonctionne paraît-il.
Sans impact, assure-t-il, sur la santé à cause du chocolat.
Des malades de sa clinique ont beaucoup progressé face au gluten de cette manière.
Je n’ai jamais pratiqué car je n’aime pas le goût du chocolat de toute manière, donc pas d’addiction pour moi.
Merci pour votre gentillesse Pascale.
Fêtez bien la fin d’année dans la joie, envers et contre tout.
Et souhaitons plus de conscience à tous.
A bientôt.
Marie.
Bonsoir Marie,
Les variétés de blé, il y a longtemps que l’on nous « fait le coup » !
J’en pense que c’est faux, bien sûr.
Je comprends que les producteurs et boulangers cherchent à nous en convaincre, c’est leur job qui est en jeu.
Malheureusement petit épeautre ou pas, kamut ou pas, etc. il y a dans le blé quel qu’il soit, de la Bible ou pas, des tas de composants autres que le gluten, en plus, qui ne nous peuvent aucun bien.
Le génome du blé est 6 fois et demi plus gros que le génome humain !
Imaginez tout ce qu’on y trouve.
Plus de 23 000 protéines différentes qui déclenchent toutes des anticorps…
Le gluten crée une porosité intestinale élevée chez tout le monde par la production de la fameuse protéine zonuline.
Découverte par le Professeur Alessio Fasano de Harvard.
Tout cela affaiblit le système immunitaire de tout le monde.
Pas franchement ce dont on ait besoin actuellement !
Et je rappelle encore que le gluten nourrit les virus.
Sachez bien Marie que lorsque votre cerveau dysfonctionnera et que peut-être la situation évoluera vers la démence ou Alzheimer, vos amis, votre famille ne seront plus là.
Personne ne viendra vous aider parmi ceux qui maintenant vous poussent à manger du gluten.
Il faut savoir choisir sa voie, sa vie.
Et je rappelle aussi que les effets du gluten sur le cerveau ne sont qu’un exemple de ses ravages.
Plus de 10000 études montrent le lien direct entre gluten et maladies auto-immunes.
Bonne soirée.
Marie.
Bonjour, moi aussi très difficile de se passer de gluten et de produits laitiers alors que mon mari mange de tout, oui il faut être héroïque. Alors j’alterne des périodes sans mais il y a toujours un moment où je vais craquer et des périodes avec. C’est surtout le pain, les pâtes je m’en passe très facilement. Le pain des fleurs aide un peu mais un bon pain 1/2 complet bio avec des graines, c’est dur dur de lui dire NON alors qu’il est sous mon nez! Je suis preneuse de votre méthode. Bien à vous.
Mon message est parti trop vite. Grand merci pour vos articles et tout ce que vous faites pour nous et belles et bonnes fêtes de fin d’année, avec les enfants et les grands-parents dans la même pièce…
Bonsoir,
Oui, je vois bien…!
Essayez de faire prendre conscience à votre mari que manger de tout est la voie royale pour toutes les maladies dites de civilisation.
Mais si vous êtes suffisamment consciente vous-même cela n’est pas nécessaire qu’il vous suive.
Il m’est arrivé de faire un jeûne à l’eau de 5 jours (après préparation sérieuse) tout en cuisinant pour le reste de la maisonnée.
Je vous fais parvenir le PDF.
Bonne soirée.
Marie.
Comment ça ? Je croyais que cette année on allait mettre les enfants sur le balcon et les grands-parents dans la salle à manger.
Chacun son tour non ?!
Heureusement que l’an prochain on aura encore des raisons de se fuir : les parents sur le balcon, les enfants et grands-parents dedans.
Après on en aura peut-être fini, qui sait ?
Bonne fin d’année à vous aussi.
Marie.
Bonsoir Marie,
Tout d’abord je vous remercie avec un peu de retard pour le pdf que vous m’avez envoyé concernant l’arrêt du gluten. Je n’ai pour ma part pas trop eu de difficultés à arrêter d’en consommer, ce sont plutôt les produits à base de farine qui me manquent. Je mange ainsi parfois du pain 100% sarrasin ou des galettes de blé noir, mais en petite quantité (je trouve surtout cela pratique pour le petit-déjeuner). J’avoue que les produits laitiers me manquent davantage, de temps en temps je craque pour un peu de fromage… En en sentant rapidement les effets assez néfastes ! A ce propos mon mari pense suite aux dires d’un maître Yogi que le ghee est bon pour la santé. Qu’en pensez-vous?
Enfin ce que vous dites à propos du chocolat noir trouve un réel écho en moi car j’en consomme assez régulièrement depuis que j’ai arrêté de manger du gluten. C’est peut-être pour cela que je me passe assez facilement de ce dernier.
Je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année.
A bientôt, au plaisir de vous lire.
Coline
Bonsoir Coline,
C’est très gentil à vous de venir me remercier, j’apprécie.
Exactement, le problème c’est la farine qui manque !
Et pourtant il vaut mieux s’en passer car toute farine nourrit les mauvaises bactéries et autres virus.
En créant des biofilms qui sont leurs nurseries.
Votre mari est en contact avec un maître yogi ?
Il y en a peu en circulation, sur internet peut-être.
C’est certainement quelqu’un qui en fait parle de médecine ayurvédique, dont le ghee est un des produits phares.
Le ghee ne contient ni lactose (sucre du lait) ni caséine (protéine).
Que la matière grasse.
Donc si on pense que ce sont ces deux composants qui sont source de problèmes on pense aussi que le ghee c’est bien.
Pourtant, d’une part il contient toujours des hormones animales ce qui ne peut nous convenir en tant qu’espèce.
Et d’autre part il demeure un produit laitier, très gras de surcroît.
Le ghee, comme tout produit laitier et comme le gluten, nourrit les mauvaises bactéries et les virus.
La médecine ayurvédique applique encore des principes qui n’intègrent pas toutes les connaissances actuelles sur le microbiome.
Tout comme la médecine chinoise.
L’histoire du carré de chocolat est très sérieuse, ce n’est pas une anecdote.
Le médecin en question est un des plus grands spécialistes au monde du gluten.
Et l’expérience dans sa clinique concerne des centaines de patients.
Il se peut donc bien que ce soit cela qui explique votre facilité à vous séparer du gluten.
Mais attention pas plus d’un carré par jour !
C’est bien de sentir les effets néfastes du fromage si rapidement.
Ils sont tout aussi sérieux que ceux du gluten malheureusement.
Si vous craquez pour du fromage de brebis ces jours-ci je ne le saurai pas !!
Passez une belle fin d’année.
Marie.
bonjour Marie
merci infiniment de vos partages. je suis intéressée par la méthode arrêt du gluten – en attendant de m’inscrire à ASI très bientôt !
bien à vous. Véronique
Bonsoir Véronique,
Vous avez bien raison, d’autant plus que lorsque l’on pratique vraiment ce que je dis dans ce PDF eh bien ça marche !
Il faut du temps mais quand c’est acquis cela l’est vraiment et sans frustration.
Je l’ai vérifié encore récemment plusieurs fois.
Pas la moindre tentation.
Les autres peuvent manger devant moi du pain que j’aimais énormément, et je n’en ai plus envie du tout.
J’en suis étonnée moi-même !
Je vais vous l’envoyer par mail.
Merci de votre passage.
Marie.
Bonsoir Abdoul,
Comme écrit pour le précédent commentaire, je ne sais pas pourquoi je n’ai pas vu celui-ci non plus.
Veuillez m’en excuser.
Le gluten est une drogue, pas de doute.
Donc rien de surprenant à ce que nous ayons tant de peine à l’abandonner.
Mais c’est possible, j’en suis la preuve !
Le pain des fleurs est un produit transformé, la farine est chauffée très fort pour être compressée.
Ce n’est pas très bon.
Mais c’est une solution idéale quand même pour ne pas craquer face au vrai pain.
Et c’est bon au goût.
Il suffit de ne pas en abuser.
Je vais vous envoyer par mail mon PDF au sujet du gluten.
Merci de me confirmer que vous l’avez reçu.
Bonne soirée.
Marie.