(j’ai choisi d’illustrer la fatigue chronique plutôt que de représenter un parasite, c’est vraiment trop affreux !)
Des parasites seraient à l’origine de cette fatigue chronique qui ne disparaît pas ?
De vos ballonnements, de vos douleurs intestinales et autres mystères inexpliqués ?
Une infection parasitaire pourrait se cacher derrière ce que l’on vous a diagnostiqué comme étant une fibromyalgie ?
Un parasite, si vous saviez vraiment ce que c’est, de quoi c’est capable, vous seriez bien moins convaincu d’en héberger ! Pas besoin d’analyse pointue.
Il y a par contre de tout autres raisons à vos symptômes, qui se traitent en cherchant leurs causes, comme toujours, pas en attaquant tous azimuts avec des compléments ou médicaments qui n’agissent que sur les symptômes.
Qu’est-ce qu’un parasite ?
Un parasite, un vrai, soit votre corps le rejette de toutes ses forces soit il vous tue ! Vous ne pouvez pas vivre des années avec un ou plusieurs parasites.
C’est simple, c’est lui ou vous.
Si vous mangez de la viande crue contaminée, des oeufs contaminés, si vous buvez de l’eau contaminée, la réaction de votre corps sera telle que votre médecin n’aura aucun doute : des vomissements violents, de la fièvre, et (ou) de la diarrhée continue, un mal de tête violent. Parfois le coma.Alors lorsque l’on vous dira que des parasites sont certainement responsables de votre fatigue chronique, de vos ballonnements, douleurs intestinales ou fibromyalgie, prenez le temps de vous demander si cela est possible !
Puisque vous êtes bien vivant, mais que le trouble en question dure depuis plus de trois jours. Il faut donc regarder ailleurs si vous cherchez vraiment la cause de vos symptômes. Il n’y a pas de santé durable sans recherche des causes.
Mais on vous dira aussi qu’il n’y a qu’une chose à faire, les tuer. Et qu’il existe des gélules ou une potion très efficace pour le faire.
L’infection parasitaire a bon dos
On vous a peut-être déjà dit par le passé que les candidas étaient à la source de vos ennuis. Mais toutes les potions et produits destinés à les tuer ne sont pas parvenus à faire disparaître vos symptômes.
On vous a parlé de virus peut-être, ils avaient du succès à une certaine époque. Maintenant on n’ose plus trop !
Et puis vous avez eu droit, inévitablement, à « c’est la tête » !
Vous êtes épuisée du matin au soir, alors que votre gentil mari fait tout pour vous aider ? C’est la tête !
Vous êtes toujours ballonnée, alors que vous mangez « équilibré »(!) ? C’est la tête !
Toutes ces réponses ne fonctionnant presque jamais, elles agaceraient plutôt, la voie est totalement libre pour « ce sont des parasites » !
J’ai vu apparaître cette explication il y a une dizaine d’années dans le monde anglo-saxon. Quel médecin ou naturopathe n’a pas mis au point son propre antiparasitaire ?
Une véritable manne qui arrive chez nous, avec des vidéos qui affolent juste comme il le faut.
« Vous hébergez de petites créatures qui vous veulent du mal. »
Mais pas de panique la potion magique existe. Et elle a le grand mérite de ne jamais demander au patient de remettre en question son alimentation.
Tout le monde y trouve son compte. C’est la parasite mania !
Des parasites ou bien des endotoxines ?
Habituellement lorsque l’on parle de toxines, on pense à celles venues de l’extérieur de notre corps : par le biais de l’air, l’eau, les aliments etc. Ce sont des exotoxines.
Ici je parle d’endotoxines, celles que notre corps fabrique tout seul. Ce sont les micro-organismes nuisibles de notre microbiome qui les libèrent.
24 heures sur 24 ils en inondent notre corps. Et pourtant on songe peu à elles. Alors qu’elles sont bien aussi dangereuses pour lui que les autres.
Il a même été démontré qu’elles étaient aussi dangereuses que les pesticides.
Pire, nous les entretenons, les nourrissant de ce dont elles raffolent. Et ce dont elles raffolent ce n’est pas de pommes et de salade verte ! Ce qui les ferait plutôt fuir !
Fromage, beurre, viande, charcuterie, oeufs, gluten, céréales en général font leur festin. (Pas les olives ni les cornichons.)
Autant le savoir !
Des bactéries bien nourries se multiplient à la vitesse de la lumière. Et ces bactéries nuisibles se reproduisent bien plus vite que les bénéfiques, en plus.
Mais elles ne se contentent pas de faire des petits, ce qui déjà est plus que dommageable pour notre corps, elles éliminent aussi des toxines. Comme tout être vivant qui se nourrit.
Les endotoxines sont les vraies coupables de vos ennuis
Parce que ce sont elles qui créent de l’inflammation au niveau de notre muqueuse intestinale, logées dans le biofilm qui tapisse cette muqueuse.
Inflammation qui se répand dans le corps entier.
D’où les douleurs intestinales, la fatigue chronique, les ballonnements qui ne disparaissent jamais etc.
Mais aussi les troubles neurologiques et dermatologiques, car ces toxines attaquent souvent le cerveau et la peau.
S’attaquer aux causes pour s’en libérer
Ne plus nourrir les bactéries nuisibles les fera diminuer en nombre et être bien moins dangereuses. La quantité d’endotoxines diminuera aussi.
Il est inutile de chercher à les tuer si on continue à les nourrir, et donc à les multiplier. Voyez ce que je disais au sujet des candidas : Tuer les candidas ou les décourager ?
Il est donc nécessaire d’adopter une alimentation anti-inflammatoire. Mais qui permette aussi de consommer par exemple de la viande, des céréales ou des oeufs sans créer pour autant d’inflammation. C’est possible.
Le pire concerne les métaux lourds qui constituent pour ces bactéries une nourriture de choix.
Raison pour laquelle les neurotoxines libérées par ces bactéries s’attaquent si facilement au cerveau. Car il contient beaucoup de métaux lourds, mercure surtout. Et aluminium en quantité.
La santé du cerveau dépend de sa concentration en métaux lourds.
Savez-vous également que la matière grasse oxyde les métaux lourds qui « coulent » littéralement dans le cerveau et y font des dégâts irréversibles ?
Donc plutôt que de se dire que l’on ne peut rien pour la santé de son cerveau il est très utile de lutter contre la présence de ces métaux lourds. Et de diminuer sa consommation de matière grasse.
Comme remède ..et en préventif….il y a paraît il la camomille noble huile essentielle à la pleine lune…l origan..la noix noire écorce….l artemisia…l absinthe en infusion!!
Bonjour !
Des potions magiques donc.
Certaines totalement toxiques.
Et contre quoi en réalité ?
Relisez peut-être mon article.
Marie.
Bonjour Marie, j ai acheté votre programme ASI il y a plusieurs années et je peux dire qu il m a sortie du gouffre alimentaire dans lequel j étais alors. Mais…. j ai recommencé dernièrement à manger un peu de tout ce que vous avez mentionné dans votre article ce jour. Un peu… mais suffisamment pour que les troubles réapparaissent, pas aussi virulents mais dérangeant quand même, et que je me dise « je suis bien quand je ne mange pas ». Non ce n est pas « quand je ne mange pas » mais «je suis bien quand je mange bien ». Je me suis fait un bouillon léger maison pour aujourd hui et je tombe sur votre courriel. Bon! sans commentaire autre que « je reprends l’alimentation ASI ». Fini carréS (pluriel) chocolat, petit bout de fromage, petit morceau pain blanc avec une tranche de saucisson mais 3/fois/semaine! Être bien dans mon corps, mon ventre, ma tête ou m offrir quelques dérapages qui vont me mettre dans le brouillard ? Je reprends votre programme alimentaire. Merci et belle journée à vous Marie. Christine
Bonjour Christine,
Cela fait très plaisir de voir que mon message passe, mais surtout que des personnes comme vous, et bien d’autres silencieuses ici, soient capables de choisir avec bon sens ce qui est réellement bon pour elles.
Nous sommes fragiles sur le plan de nos choix alimentaires quotidiens.
Pour des tas de raisons nous pouvons succomber au charme du fromage, du saucisson ou de la tartelette.
L’essentiel est de savoir où est le bon chemin.
Ne pas se laisser manipuler par le premier venu qui vous vante sa potion comme je disais.
Ou son astuce pour que les viennoiseries soient sans danger…
Evidemment que ASI résout de nombreux symptômes, sans effets secondaires naturellement.
Et qu’il ne s’agit pas seulement de stopper tel ou tel symptôme, mais comme vous le dîtes si bien, se sentir à l’aise dans son corps, sa tête, ses activités quotidiennes.
Triste que beaucoup de gens croient pertinent d’acheter toutes sortes de produits inutiles ou problématiques ; qui coûtent finalement très cher.
« Je vais bien quand je mange bien ». Eh oui.
Manger bien ce n’est pas croire les conseils qui nous arrangent.
« m offrir quelques dérapages qui vont me mettre dans le brouillard »
Si ce n’était que le brouillard…mais à chaque fois le microbiome se détériore encore plus, l’inflammation chronique galope.
Le chemin de la pharmacie se rapproche.
Grand merci Christine, rien n’est plus important pour moi que de voir que tout le temps consacré à ce blog est bien loin d’être perdu.
Même si parfois je doute…!
Bon dimanche à vous et bonne reprise.
Marie.
Bonjour Marie,
Je me permet de vous dire qu’il ne faut pas douter de ce que vous pouvez apporter, même si les commentaires sont rares, vos conseils sont une mine d’or
Il est vrai, par contre, que devant le poids de la famille, de la société c’est difficile de mettre en place toutes ces modifications.
Sur une île seule se serait plus simple, pas besoin de se justifier, pas de regard inquisiteurs non plus.
Excellent dimanche à vous et encore merci !!!
Bonjour Marie,
Comme vous le savez, j’ai été touché par une grosse candidose il y a quelques années, contenue depuis , ainsi que par le Sibo ( pas prouvé ) mais je suis toujours en dysbiose, la réparation d’un intestin mal traité et maltraité depuis des décennies ne se répare pas en quelques mois ni années…
Tout ça pour en venir à votre question sur les parasites.
Tout d’abord , lorsque mes enfants étaient petits, ils avaient le droit chaque printemps à leur cure de vermifuge et le médecin nous la faisait faire en même temps !
J’ai eu droit aussi à toutes sortes de potions et médicaments pour « tuer » les mauvaises bactéries .
Et dernièrement le médecin micronutritionniste m’a parlé d’un potentiel parasite dans les selles. Donc, analyse du microbiote et découverte d’un petit parasite qui n’a pas l’air très méchant quand même.
Il m’a juste fait faire une cure d’allicine …..comme quoi, la petite gousse d’ail dans les salades peut être miraculeuse (-:…… Et il faut bien trouver une solution quand d’un autre côté, les médecins ne sont pas formés à la nutrition !!!
Bref, je pense que comme Christine, le plus important c’est de manger bien pour se sentir bien, mais aussi selon ses tolérances ou intolérances du moment . D’où l’intérêt de reprendre régulièrement les programme ASI et MLT et apprendre à se connaître, car chaque individu a un microbiote et une capacité digestive différents. C’est ce qu’il y a de plus difficile, se reconnecter à ses besoins et non à ses envies !!! Et aussi se justifier autour de soi !!!
Je vous souhaite un bon dimanche.
Amicalement
Pascale
Bonjour Sandrine,
Ce que vous pointez est vrai pour tout ce que nous faisons dans la vie.
Et comme l’époque est au summum du conformisme, plus que jamais auparavant, les esprits qui pensent souffrent. I know.
Il ne s’agit pas de commentaires, mais de constater que des propos complètement imbéciles ou malhonnêtes (les deux probablement) se répandent partout.
Il faut donc bien admettre que si des gens en totale fin de carrière médicale et médiatique (il faut être sérieux quand même, s’occuper de ses petits-enfants c’est pas mal aussi à un moment de la vie) en sont à débiter des conseils si dangereux, c’est qu’il y a un public pour ça. Que des gens gobent sans réaction ce qui leur convient, et qui n’est pas franchement un conseil d’ami !!
Ce n’est pas bon signe.
C’est moi qui vous remercie.
Marie.
Bonjour Pascale,
Le microbiome est aussi personnel que les empreintes digitales, en effet.
Nous avons donc plus ou moins de bactéries bénéfiques, de bactéries nuisibles et de bactéries neutres.
Avec de multiples sous-catégories de bactéries, champignons, etc.
Mais ce qui ne diffère pas ce sont les proportions de chaque catégorie correspondant à l’état de bonne santé.
Ces proportions ont été établies par la comparaison de milliers d’analyses du microbiome faites sur toute la planète par des médecins du monde.
Quel que soit le pays, l’âge des patients et leur régime alimentaire, il a été découvert une composition identique pour tous.
C’est-à-dire qu’un patient en bonne santé avait toujours, ici ou ailleurs dans le monde, la même proportion de bactéries bénéfiques et de bactéries nuisibles.
Ce qui entre parenthèses rend comiques les fameux régimes crétois ou Okinawa !
Qui ne sont naturellement que des produits marketing.
Le programme ASI est fondé sur la découverte de ces proportions.
Rien d’étonnant donc à ce qu’il fonctionne.
Mais les progrès seront liés aux proportions de chaque microbiome.
Si vous en êtes très éloigné ou peu vous ne verrez pas de progrès à la même vitesse.
C’est votre situation.
Votre microbiome en grande dysbiose fait que vous devez être plus patiente que d’autres !
Rassurez-vous le mien était sans aucun doute le plus éloigné de cet idéal que l’on puisse imaginer.
Depuis la naissance microbiome au-delà même des termes pour le décrire.
Traitements médicaux qui ont nourri durant des mois le microbiome le plus « mauvais » possible.
Irradiation, pas de lait maternel (hôpital) etc.
Malgré tout, je n’ai jamais consommé le moindre médicament depuis et je ne manque pas d’énergie.
Donc tout est possible quand on se sert de son bon sens !
Les médicaments pour tuer vos candidas ne pouvaient pas aider, vous avez vu les articles sur les candidas.
Il est mignon votre nutritionniste, il réinvente la roue…
Parce que la cure d’allicine, si on ne cherche pas à faire marcher le commerce, cela s’appelle de l’ail !
On écrase de l’ail et on avale le jus.
Connu depuis des lustres.
Mais pour lutter contre les vers ! Pas les parasites.
Et là on retrouve le sujet exact de mon article.
Jamais un parasite ne souffrira de l’ail !
Parlez-en aux gens atteints de paludisme.
Et un réel parasite vous aurait fait souffrir terriblement, voyez ce que je dis dans l’article.
On ne vit pas longtemps avec un parasite en soi, c’est mortel.
Le monsieur dit parasite parce que c’est dans l’air du temps.
No comment.
Continuez l’ail régulièrement.
Depuis l’âge de 20 ans j’en consomme chaque jour plusieurs gousses.
Pour ce qui est de lutter contre les métaux lourds je crois que cela devient un défi majeur.
Je lis des études qui de plus en plus les associent aux pires troubles de santé.
Le cerveau, le cerveau…
Merci Pascale de votre détermination liée à votre lucidité.
J’espère que des lectrices et lecteurs se sentent plus courageux en lisant les témoignages ici.
Bonne soirée.
Marie.
Bonjour Marie,
Je vous remercie pour cet article …
Je disais à une amie, il y a 3 ans de cela maintenant.. que les jours de pleine lune, j’appliquais à la lettre votre article sur l’aïgo boulido ; je fais bouillir dans de l’eau des feuilles de sauge, je rajoute du romarin et du laurier pendant 15 minutes. L’ail, je l’épluche avant et le rajoute en dehors du feu (5-10 mn après). À la place de l’huile d’olive ; je mets de l’huile de coco bio vierge. Cette amie m’avais dit que cette recette était très très bonne pour tuer les œufs des parasites qui pondent à la pleine lune. La sauge ayant cette fonction destructrice des parasites entre autres. Le romarin vient purifier le corps et adoucir le foie et le laurier la faune intestinale.
Un très grand merci pour tout.
Il est vrai que je m’accorde trois à quatre fois par semaine de manger ce que je veux quand revient le printemps : force est de constater qu’une grande fatigue me gagne avec une perte de force qui m’amène de suite à dormir et la nuit, j’ai beaucoup de démangeaisons (prurit dû au foie).
J’ai pu trouver l’astuce grâce à votre site aussi, le matin à jeun et surtout le soir : je coupe un gros bout de morceau de curcuma bio (avec la peau) que je mets dans une cuillère à soupe en rajoutant quelques gouttes d’huile d’olives et je le mange ainsi. L’été, je remplace l’huile d’olives par l’huile de coco bio vierge, son état étant plus liquide à cette période. Je couple avec de l’ashwangandha en poudre mélangée à de l’eau.
Dans notre société délétère et malade, j’ai pu observer qu’il est nécessaire mais très difficile de se délaisser de ses habitudes nutritives pour s’inculquer une bonne attitude nourricière…
Marie bonsoir,
Comment consommez-vous vos gousses d’ail ? Les mangez-vous ?
Bien entendu, le laurier est pour la foire intestinale et non la faune … ;-D
Bonsoir Akim,
Vous me donnez envie de refaire de l’aïgo boulido. C’est si bon.
Manger ce que l’on veut…oui mais il faut savoir se limiter et ne pas répéter trop souvent.
Oui cela fatigue, tout simplement.
C’est la preuve que votre corps est intolérant à ce qui n’est pas fait pour lui.
Méfiez-vous si le foie montre déjà de telles réactions.
Prendre soin de sa santé devrait relever du réflexe, quel que soit ce que les autres en pensent.
Lorsque vous développerez une maladie plus grave ils ne seront pas là pour prendre soin de vous.
Laissez dire.
Le laurier a décidément du pouvoir…!
Merci.
Bonne soirée.
Marie.
Avec tous les légumes crus ou cuits et les céréales.
Cela permet de limiter facilement la quantité de sel et de graisse.
Vous avez le sens de l’humour, la foire maintenant !!
Ma foi, vais y arriver … la flore intestinale ! Ouf, j’ai réussi, enfin
Quand vous écrivez : « Avec tous les légumes crus ou cuits et les céréales.
Cela permet de limiter facilement la quantité de sel et de graisse. » vous parlez de l’ail ? Le sel, faut-il le limiter ?
Vous m’aviez parlé que vous ferez un article sur les bienfaits de la laitue, quand est-il ?
Y aurait-il une alerte pour les articles que vous sur votre site ?
Bonne soirée
Je viens de voir comment s’inscrire ! C’est fait ! Bonne nuit
Vous n’étiez pas inscrit sur le site ?
Le sel est considéré comme dangereux pour la santé cardiaque.
Il contracte les muqueuses des vaisseaux et artères.
Même si les études qui l’ont prouvé ont été réalisées avec du sel raffiné.
Le meilleur sel à consommer
Or le sel raffiné est de toute manière particulièrement dangereux pour la santé.
En tous cas moi j’ai tendance à aimer saler…
Donc je souffre un peu à cause de ça.
L’ail ajoute un piquant qui me fait supporter la quantité trop faible de sel à mon goût.
Des alertes ? Je comprends maintenant, vous n’étiez pas inscrit à ma lettre d’information !
On dirait que c’est fait.
Vous recevrez à chaque publication une lettre qui l’annonce.
Vous en avez donc manqué des choses importantes.
Vous recevrez aussi le guide des métaux lourds et toxiques et de leurs effets.
Article laitue, d’accord. Il suffit que j’y pense.
A une autre fois.
Marie.
Bonjour Marie et merci pour ces précieuses informations
j’ajoute un petit mot qui me semble important , par expérience une alimentation saine et équilibrée est vitale mais il ne faut pas oublier l’environnement , j’entend par là , famille , conjoint , qui peuvent faire de votre vie un calvaire destructeur , on a beau bien s’alimenter ( ce qui permet de mieux résister ) mais à la longue ça tue dans le sens propre du terme si on a pas les moyens de tout quitter . Un environnement proche de personnes bienveillantes est aussi vital qu’une bonne alimentation , j’irai presque jusqu’à dire qu’on digère tous lorsqu’on est aimé , sauf bien évidemment pour des gens qui vivent très bien sans aimer ou être aimé . Nous avions des exemples lors de la pandémie à tel point que la peur de certains était plus forte que l’amour pour leur prochain .
Bonne continuation Marie
Bonjour Nicole,
Comme il y a longtemps que je n’ai pas eu de vos nouvelles !
Je me souviens très bien de votre nom de famille.
Vous mettez le doigt sur un réel problème.
Dont nombre de lectrices m’ont déjà parlé.
En général ce sont les maris qui acceptent mal leurs choix alimentaires.
Et cela est vrai pour tout autre choix dans la vie.
Les charmes de la vie de couple n’ont pas de limites !!
Je n’apprends rien à personne.
Mais en ce qui concerne la santé les différends peuvent être très dommageables…
Divorcer parce qu’un conjoint mange de la viande et pas l’autre.
Peut-être que cela arrive.
Sans parler du choix des soins de santé.
Et comme vous dîtes, par peur on en vient à manquer de respect à ses proches.
Mamie sur le balcon…qui a oublié ?
J’espère que pour vous les choix ne sont pas trop douloureux quand même.
Et que vous allez bien.
A une autre fois ?
Marie.
Bonsoir,
Petite question en passant, même si je ne suis pas forcément dans les commentaires du bon article.
Ces derniers temps, je lis souvent sur X que des personnes utilisent du bleu de méthylène pour se soigner… C’est valable ou ce n’est qu’une mode dangereuse ? Il me semble me souvenir, qu’à l’époque lointaine où j’avais un grand aquarium, j’utilisais ce produit pour désinfecter l’eau… Bonne soirée et à bientôt 🙂
Bonsoir Ann,
On va sur X, eh bien, c’est pas beau !
Je me comprends…
Vous n’êtes pas la première à me poser la question (par mail).
La « mode » semble se répandre en effet comme une trainée de poudre, même si ce produit est connu depuis longtemps dans les familles.
Et vos petits poissons ont peut-être bien profité de ses bienfaits.
Le médecin qui en parle le plus, enfin pour ce que j’ai vu, est quelqu’un de sérieux, pas un rigolo.
Je n’ai pas lu son livre mais c’est certainement très bien fait.
Les effets sont avérés, pas de doute.
Je vais vous répondre ce que j’ai répondu à un lecteur, je n’utiliserais pas ce produit en usage régulier ou pour des problèmes non vitaux.
Parce que cela demeure un produit chimique.
Et que notre corps n’est pas à mon avis adapté à des produits de synthèse.
Mais en cas de maladie grave, voire qui met la vie en danger, cela pourrait être une option pour moi. Absolument.
En appui d’une stratégie alimentaire, selon la maladie.
Je dis juste, par exemple, que la maladie se déclare sur un terrain acidifié, inflammé si vous voulez, obligatoirement.
Donc en agissant à ce niveau on aide le corps à se défendre.
J’ai déjà réfléchi à cela pour mon cas ou celui de mes proches.
Mais sinon j’évite le contact avec les produits de synthèse.
Bonne soirée au bleu !
Marie.