Intolérances alimentaires et mauvais sommeil

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Intolérances alimentaires ou allergies alimentaires ?

Vous aller comprendre la différence.

 

Les intolérances touchent un très grand nombre d’entre nous, qui n’en savons

rien, et souffrons à cause d’elles en toute ignorance de ce qui nous fait souffrir.

 

Les allergies sont bien moins fréquentes mais plus immédiatement dangereuses.

 

Ce sont les intolérances alimentaires qui provoquent la plus forte inflammation

de toute notre alimentation.

Elles sont donc la principale cause d’un mauvais sommeil, puisque l’inflammation

est le déclencheur direct des problèmes de sommeil .

Comme vous l’expliquait le précédent article.

 

Il est ainsi essentiel d’apprendre à repérer les intolérances alimentaires et à s’en

libérer.

 

Le lien entre intolérances alimentaires et manque de sommeil

Que vous ayez de la peine à vous endormir, que vous vous réveilliez plusieurs fois

chaque nuit, ou que vous ne puissiez pas vous rendormir facilement ensuite, tout

cela s’explique.

 

La cause de ces symptômes est très probablement en relation avec un problème

d‘intolérances alimentaires.

 

Il a aussi été constaté que le manque de sérotonine et de dopamine entraînait

très souvent des difficultés pour s’endormir et un sommeil peu récupérateur.

Or 90 % de ces deux neurotransmetteurs sont fabriqués par la muqueuse

intestinale.

 

En passant, contrairement aux croyances répandues, le cerveau lui en fabrique

moins de 5% !

 

L’insomnie concerne souvent ceux qui sont atteints de troubles intestinaux en

tous genres, ce qui n’a rien de surprenant étant donné ce que je disais plus haut.

Campos HH, Bittencourt LRA, Haidar MA, Tufik S, Baracat EC. Sleep disturbance

prevalence in postmenopausal women. Rev Bras Ginecol Obstet.2005;27(12):731–6.

 

Comme ceux qui souffrent d’un trouble de l’auto-immunité.

Là aussi c’est logique puisque les maladies auto-immunes ne peuvent exister sans

une muqueuse trop poreuse.

Stein, E., & Katz, P. O. (2010). GERD: GERD and insomnia—first degree relatives

or distant cousins?. Nature Reviews Gastroenterology and Hepatology7(1), 8-10.

 

Donc si vous êtes concerné par un de ces troubles ne soyez pas étonné que votre

sommeil soit de mauvaise qualité.

 

C’est quoi les intolérances alimentaires ?

Première chose, ce ne sont pas des allergies alimentaires.

Une allergie provoque une réaction violente, dangereuse voire mortelle.

Les gens concernés les découvrent assez vite dans leur existence.

 

Au contraire les intolérances alimentaires, et on en a rarement qu’une, demeurent

silencieuses en nous.

Elles nous minent en créant de l’inflammation chronique et on n’en sait rien !

 

Jusqu’au jour où on apprend que les intolérances alimentaires sont très souvent à

la base de nos ennuis de santé.

Alors le médecin nous fait passer des tests et là c’est généralement

l’effondrement.

Je suis intolérant(e) à tous ces aliments ?

Mais c’est justement ceux que je préfère !

 

Bien sûr, car nous devons avoir consommé régulièrement ou beaucoup de ces

aliments pour qu’ils aient déclenché une intolérance.

Quand on a eu un mode de vie et une alimentation inflammatoires, comme je l’ai

expliqué dans ma conférence ASI, qu’on a comme tout le monde consommé du

gluten et des produits laitiers régulièrement, on a obligatoirement une muqueuse

intestinale trop poreuse.

 

Sans parler de tous les repas mal composés qui se digèrent très mal ou même

pas du tout, et qui agressent eux aussi la muqueuse en créant de l’inflammation,

ce qui la rend poreuse.

 

Comment devient-on intolérant à des aliments ?

Par ces « trous » de la muqueuse peuvent donc passer des molécules alimentaires

ou de produits toxiques environnementaux qui ne devraient pas passer dans

le sang.

Voilà comment on s’intoxique, parce que notre muqueuse est trop poreuse.

 

A force de passer, certaines de ces molécules, donc celles d’aliments que vous

consommez souvent, provoquent une réaction immunitaire de l’autre côté de

la muqueuse.

Parce que votre système immunitaire les perçoit comme un danger.

Puisqu’elles n’ont pas leur place dans le sang.

 

Il fabrique donc des anti-corps à ces aliments, bons ou mauvais ce n’est pas

le problème.

Même un morceau mal digéré de salade peut déclencher cette réaction.

 

Le système immunitaire fait son travail de défense de notre corps.

Ces anti-corps sont à la source de toutes sortes de symptômes.

Vous êtes devenu(e) intolérant(e) à ces aliments-là.

 

La seule solution est de réparer la muqueuse pour que ne passent à travers elle

que des particules très fines bien digérées.

Et de rendre évidemment votre digestion plus performante car pour que

les particules soient fines il faut que les aliments aient été parfaitement digérés.

Toutes choses qui sont l’objectif du programme ASI naturellement.

 

Quels aliments sont susceptibles de déclencher des intolérances alimentaires ?

Je choisis de vous parler du gluten et des produits laitiers parce que ce sont

les aliments les plus inflammatoires, ceux qui font fabriquer le plus d’anti-corps

chez presque tout le monde.

 

Le gluten est connu pour créer de l’inflammation dans tout le système nerveux,

ce qui a nécessairement des effets sur la qualité du sommeil.

Hadjivassiliou et al. Gluten sensitivity as a neurological illness J. of Neurology, neurosurgery and

psychiatry 2002: 72:560-563.

(l’intolérance au gluten comme maladie neurologique)

 

Et je répète bien, sans que vous vous en doutiez généralement, sans le moindre

symptôme intestinal.

 

Mais de nombreux autres aliments sont par eux-mêmes également inflammatoires

et susceptibles de créer des intolérances.

Difficile de résister, je sais !

Comme à toutes les autres images de cet article…

 

Sauf que pour une grande majorité d’entre nous, que nous le voulions ou pas, elle

se situe là la source de nos troubles de santé, la source de l’inflammation

chronique qui nous grignote d’année en année.

Pendant qu’on se régale.

 

Même s’il est absolument possible de se régaler autrement et de n’en vivre aucune

frustration. Je vous assure.

 

Mais c’est tellement bon !

J’ai beaucoup offert de tartes de légumes à mes invités, dans une autre vie.

Maintenant je n’ai même plus de four !

J’aime toujours autant cuisiner mais autrement.

Quand on a bien intégré les conséquences réelles et si sérieuses pour notre avenir,

on se débrouille pour ne plus se retrouver en situation de devoir souffrir devant

ce que l’on a décidé d’éviter.

 

Parce que la gourmandise ce n’est que de l’addiction, souvent sucrée, soyons

honnête. Pas du vrai plaisir, qui lui ne peut pas nuire.

De l’addiction à des aliments qui ne nourrissent pas et ne font que nous nuire.

Manger pour vivre ou vivre pour manger, toujours la même affaire !

 

Comme pour tout, il faut savoir ce que l’on veut.

Et qui veut vieillir gaga en ayant des douleurs intestinales et autres ennuis de

santé, notamment des troubles de l’auto-immunité, soi-disant liés à l’âge ?

 

Parce que, réellement, c’est quoi la fameuse épidémie de maladies mentales, de

maladie d’Alzheimer et autres formes de démence ?

En n’oubliant pas qu’il est bien prouvé que ces maladies prennent naissance dans

le corps entre 20 et 30 ans, pas à 60 ou 70 ans !

A cet âge-là les jeux sont faits, à moins d’adopter une alimentation vraiment

anti-inflammatoire.

 

Comment savoir si on souffre d’intolérances alimentaires

Dans le programme ASI vous avez un protocole précis qui vous permet de savoir si

vous êtes intolérant au gluten ou aux produits laitiers ou à d’autres aliments.

Cela se pratique chez soi pour tous les aliments que l’on désire, inutile de payer

des fortunes en innombrables tests, qui ne sont pas toujours fiables en plus.

 

Et qui ne donnent de toute façon aucune solution à la situation.

Parce que supprimer des tas d’aliments qui ne sont pas dangereux en eux-mêmes

ne peut pas être une solution, c’est même grave parfois.

Supprimer les brocolis ou tel ou tel fruit n’est pas souhaitable du tout.

Ils n’ont rien à se reprocher !

 

Et j’ajoute, comme je l’ai déjà écrit et comme en témoignent beaucoup de mes

lecteurs, supprimer gluten et produits laitiers est très loin de régler la situation.

Nécessaire mais pas suffisant !

 

Vous ne faîtes qu’adoucir les symptômes, et tout le monde n’y parvient même

pas d’ailleurs.

Parce que vous n’avez pas réparé votre muqueuse intestinale.

Le nerf de la guerre !

12 COMMENTS

  1. Bonjour Marie,
    Voilà deux articles qui vont me donner des insomnies. A leur lecture je reconnais quelques problèmes que je rencontre mais lire ne suffit pas, encore faut-il réussir à pour tout mettre en oeuvre afin de rester sur le droit chemin. C’est un vrai parcours du combattant, les tentations sont omniprésentes. Résiste ! chantait France Gall…
    Merci pour toutes ces informations si généreusement transmises.
    Belle soirée.
    Michèle

  2. Et encore 2 articles bien percutants ! Merci Marie pour votre incessant travail de fourmi…. Si seulement vos messages pouvaient passer à grande échelle ! Mais bon, buisness is buisness, et si tout le monde suivait votre super-programme, ce serait l’écroulement d’un nombre incalculable de métiers, d’entreprises et de plus ou moins toutes les multinationales. Et dire que c’est au détriment de notre santé que nous les avons enrichis trop longtemps… No comment !
    Encore des bises bien fraîches, à bientôt.

  3. Bonjour Michèle,
    Il n’y a pas de parcours du combattant, que des corps drogués aux aliments addictifs qui les affaiblissent de jour en jour.
    Mieux on mange moins on peut avaler ces faux aliments.
    Qui deviennent affreusement agressifs au goût en plus.

    C’est une question de niveau de conscience.
    Donc de respect de soi.
    Car donner chaque jour au corps ce qui le tue à petit feu, quel mépris.
    C’est en plus ne pas savoir ce qu’est le réel plaisir, et c’est triste.

    A l’époque de la bienveillance dégoulinante pour tout et n’importe quoi, presque personne ne respecte son propre corps, curieux non ?
    Décidément le développement personnel le plus nunuche ne fait pas vraiment évoluer les consciences !

    Il n’y a pas de droit chemin, seulement celui de la vie et le corps y réagit immédiatement.

    Bonne journée.
    Marie.

  4. Bonjour Ann,

    Des articles fondés sur la connaissance récente et sérieuse, c’est tout.
    Mais il faut beaucoup de travail pour y accéder.

    De plus en plus de gens continuent de les enrichir Ann…

    Je n’enverrai de bises qu’ensoleillées, alors il va falloir attendre !!
    Marie.

  5. Bonjour Marie,

    Je partage totalement votre optique et suis consciente de plus en plus du message que vous voulez faire passer. J’ai toujours refusé de manger junkfood et non bio mais je n’ai malheureusement pas échappé au gluten et produits laitiers durant mon enfance et l’adolescence même en bio ainsi que quelques sucreries parfois et mélanges indigestes…sans parler des oléagineux!
    Mais j’espère que les jeux ne sont pas faits car j’ai 25 ans et je viens de commencer votre programme ASI. Je me sens déjà relativement mieux!ouf.

    Bonne journée,
    Olivia

  6. Bonjour Olivia,

    Décidément je vais changer le slogan de mon site et de tranche d’âge !
    On semble plus honnête avec soi-même entre 20 et 25 ans qu’après 40.
    Refus de la malbouffe à votre âge, bravo.

    Je sais bien que vous êtes minoritaire, mais les plus âgés manquent cruellement de votre lucidité.
    Que j’avais déjà constatée sur le site ASI !
    Pour eux c’est plutôt « Si t’as pas ta place dans un EHPAD à 70 ans t’as raté ta vie ».
    C’est la peur de la solitude à mon avis, les EHPAD sont assez surpeuplés.

    Sur le blog j’ai deux garçons de 20 et 22 ans et vous, c’est un bon début.

    Aucun habitant de pays dit développé n’a échappé à ces habitudes, vous savez.
    Quand je dis « les jeux sont faits » je parle du déclenchement du processus inflammatoire et de l’auto-immunité vraisemblablement pour la grande majorité.
    Tout cela est démontré régulièrement par la recherche partout.
    Mais j’ajoute : sauf si on adopte un mode de vie anti-inflammatoire.
    Car rien n’est jamais joué si on est lucide et cohérent avec soi.
    A n’importe quel âge le corps réagit immédiatement dès qu’on le respecte, il n’attend que ça.
    Alimenter la vie ou alimenter la mort, quelle question…!

    Parfait si vous allez déjà mieux, je suis ravie.
    A bientôt et merci d’être là.
    Marie.

  7. Bonjour Marie

    Voici deux articles passionnants, d’autant que j’avance bien : gluten totalement abandonné et produits laitiers en bonne voie. J’essaie de ne plus utiliser de produits raffinés et industrialisés, achète la plupart du temps bio et mange beaucoup de légumes. Bref, j’avance doucement et ces précisions tombent bien.

    Je dors comme un bébé (sans doute parce que ma journée de travail est éreintante), mais je comprends parfaitement les intolérances alimentaires et leurs conséquences.
    Je pense que je serai prête bientôt à faire des essais mais, devant l’étendue des aliments auxquelles on peut être intolérant, ça fait tout de même un peu peur, je l’avoue !

    J’ai voulu répondre à votre message concernant la politique de confidentialité, mais je n’y suis pas arrivée car, quand j’ai cliqué sur le « oui », ma messagerie m’a dirigée vers une page qui m’a dit que « je n’étais pas autorisée à utiliser des brouillons »… Je n’ai rien compris et malgré plusieurs essais c’est toujours pareil. Alors svp Marie, pouvez-vous noter que je suis d’accord avec cette politique et que je désire toujours recevoir vos lettres ? Merci d’avance et bonne journée à vous.

    Eliane

  8. Bonjour Eliane

    Désolée pour le retard mis à vous répondre.
    J’ai été assaillie par trop de demandes de conseils par mails.

    Vous n’avez peut-être pas bien compris comment se créent les intolérances.
    Ni surtout ce qu’elles prouvent.
    Se voiler la face et refuser de savoir leur permet de se multiplier !
    Plus vous attendez de réagir plus elles seront nombreuses, question de temps.

    Supprimer les aliments concernés ne résout rien, c’est cela qu’il faut saisir.
    Car s’il y a intolérances c’est que la muqueuse est trop poreuse, inflammée et donc que des particules alimentaires (et de produits chimiques) passent à travers.
    Une seule intolérance est une preuve suffisante.
    C’est la muqueuse qu’il faut réparer avant que le nombre d’aliments non tolérés devienne…intolérable !

    Tant qu’il y a des trous trop grands les particules passent, ce qui crée de l’inflammation et une réaction immunitaire.
    Avec fabrication d’anti-corps, donc des réactions d’intolérances qui évoluent en troubles de l’auto-immunité.
    Ce qui est plus que sérieux.
    Relisez mon article au sujet des maladies auto-immunes, vous verrez que c’est grave.

    http://www.nourriture-sante.com/maladie-auto-immune-evitee-stoppee/

    Ce qu’il faut c’est dès que possible « boucher les trous » !
    Ce n’est que comme cela que l’on peut envisager de consommer à nouveau les aliments en question.
    Si ce ne sont pas des aliments problématiques en eux-mêmes, comme gluten et produits laitiers.
    Les autres sont des « victimes » pas des responsables.
    Vous n’allez pas passer votre vie à vous priver de carottes ou de tomates ou de brocoli etc.

    De toute manière ne rêvez pas si vous avez mangé du gluten et des produits laitiers comme tout le monde votre muqueuse est inflammée, trop poreuse.
    Et les intolérances existent, peu nombreuses ou nombreuses.
    Que vous le sachiez ou pas, mais en silence cela a des conséquences.
    Les lister ne sert à rien.
    Les tests ne résolvent aucun problème, ils n’agissent pas sur la cause, la muqueuse inflammée et la flore en dysbiose.

    Pour le bug dans mon mail ne vous inquiétez pas, j’ai pris note de votre accord.
    Etrange d’ailleurs car les tests de mails que j’avais faits fonctionnaient.

    Bel été.
    Marie.

  9. Bonjour Marie!
    Merci pour tout vos écrits, recherches, temps passé que vous partagez gratuitement avec nous, je vous en suis très reconnaissante. Cela fait deja quelques mois que je suis inscrite, j’ai dévoré les articles sans jamais prendre le temps de laisser un commentaire, j’ai également acheté votre programme ASI que j ai trouvé méga interessant car très simple au final… et en plus il marche !!! J’ai appris un nombre incalculable de choses avec vous et avec les commentaires et vos réponses aux commentaires que je trouve très complémentaires aux articles en terme d’information.
    J’en profite aussi pour faire echo au message d’Eliane ci-dessus concernant la protection des données, j ai eu le meme problème et je ne reçois plus d email de Marie… Bouh !!!
    Je vous envoie plein de soleil si jamais il le fallait.
    Très bel été à vous
    Corinne

  10. Bonsoir Corinne,
    Je suis désolée de venir si tardivement répondre à votre gentil commentaire.
    L’été n’a pas été très « ensoleillé » pour moi et j’ai dû m’éloigner de mon site.
    Je suis ravie de savoir que le programme vous a apporté ce que vous désiriez on dirait.
    Merci de me signaler ce problème de mail.
    Avez-vous reçu le mail qui annonce l’article « flore déséquilibrée » ?
    Cela m’a fait plaisir de vous lire, merci.
    A bientôt.
    Marie.

  11. Bonsoir Marie et ravie de vous lire ! Je suis désolee si votre été n a pas été ‘ensoleillé’, j’espère qu’il n’a pas été trop sombre tout de même… rassurez vous, je n’attendais pas de réponse immédiate de votre part et je me doutais bien que vous reviendriez vers moi quand vous en auriez le temps et la possibilité. Oui, je vous remercie, le problème a bien été reglé et j’ai bien reçu un email me signalant qu’un nouvel article avait été publié. Je parlais justement de vous ce soir avec ma fille de 21 ans qui vit a Londres, je lui ai fait découvrir votre blog qu’elle visite régulièrement et cela nous donne l’occasion d’avoir des conversations interessantes sur l’alimentation et son rapport a la santé. Passez un bon week-end ensoleillé Marie et au plaisir de vous lire. Corinne

  12. Bonjour Corinne,
    Merci de votre gentillesse.
    Vous avez bien raison de sensibiliser votre fille, car comme le disent tous les médecins chercheurs en médecine fonctionnelle et sur le sujet des maladies les plus fréquentes à notre époque, elles ne naissent pas à 50 ou 60 ans.
    Mais leurs causes s’installent entre 20 et 30 ans, par exemple pour Alzheimer et tous les troubles du cerveau.
    Bon soleil, encore !
    Marie.

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